Retour à Cannes cette année en touriste. Une occasion de redécouvrir sur le net dans le site officiel du festival la trace des mes deux premières sélections. Premiers contacts avec ce festival où je devais revenir bien souvent et pour de multiples raisons.
et oui vous lisez bien 1981 et 1983
1981 à 2015 ça fait un bail que de films et de souvenirs...
Je viens de découvrir le dernier film de Roy Anderson : Un pigeon perché sur une branche philosophait sur l’existence primé à Venise où l'on retrouve sa patte inimitable !
Voici des vidéos captées lors de mon intervention en Franche Comté pendant le festival de Belfort et que l'on peut retrouver sur le site du Pôle Image Franche Comté :
Rencontre régionales - Décembre 2014 - Claude Duty
Cinéaste prolifique et personnalité du monde du court métrage français, Claude DUTY a réalisé depuis 1974, plus d'une trentaine de courts.
Partie 1 :"Ce qui m'intéresse dans le cinéma, c'est le medium même".
Partie 2 : Histoire du film Mode d'emploi
Partie 3 : Histoire du filmObservation de l'hématozoaire de Laveran
Partie 4 : Histoire du filmPassera-t-il ?
Partie 5 : Histoire du filmLes Énervés de Jumièges
Vendredi 27 mars de 15h00 à 19h30 , Auditorium du Pôle Régional des Savoirs à Rouen, le Pôle Image de Haute Normandie dresse le bilan de ses aides 2015.
Avec Nuria Rodriguez en bon maître de cérémonie je donnerai la parole aux réalisateurs, producteurs et plasticiens soutenus par le Pôle Image.
Nous ne sommes qu'en Mars mais déjà beaucoup de festivals pointent le bout de leurs nez !
Pour preuve cette belle affiche signée Tom Haugomat pour l'ACID. La section la plus modeste du festival de Cannes et pourtant la plus remarquée par la profession ces dernière années. Espérons que le cru 2015 soit aussi brillant que l'an dernier.
Mercredi 25 février deux films "amis" sortent en salles...
deux films hors des sentiers battus à découvrir au plus vite ! Et à l'horizon une autre sortie remarquable le très réussi nouveau film d'Olivier Jahan LES CHATEAUX DE SABLE. À noter pour le 1er Avril :
Une 37ème édition très réussie (une fois de plus...) pour le Festival du Court Métrage. Voici au jour le jour un petit résumé en vidéo capté avec mon Iphone :
Dès le dimanche premier débats avec les réalisateurs où je retrouve mes complices Michel Coulombe et Annick Rivoire. Premier déjeuner à notre cantine La Javanaise. Le cocktail Suisse inratable pour bien commencer le festival !
Une visite à l'Atelier pour retrouver les gratteurs fous. Petit tour bien arrosé au marché et soirée sous le signe de Autour de minuit l'un de mes deux producteurs favoris
Mon déjeuner traditionnel avec des amis Clermontois. Petit tour dans la galerie d'Antoine et Isabelle pour une expo autour du très beau court métrage d'animation Symphonie N°42. Conférence Le Jour le plus court, petit tour au bar des réalisateurs et en route pour la fête Canal !
Dernière matinée de débat. 128 films passés au crible durant tous ces matins du dimanche au samedi de 9h.30 à 13h.30. Cela fait beaucoup de rencontres et de discussions passionnantes. Et déjà c'est la cérémonie de clôture avec pour moi le stress en moins car "grande première" depuis bien longtemps j'y assiste tranquillement depuis la salle. C'est au tour de Michel d'y faire un saut pour recevoir le grand prix international.Très sympathique pot d'après palmarès dans notre chère salle Gripel. Mais déjà la page se tourne... vivement l'an prochain du 5 au 13 février !
et pour finir quelque petits souvenirs de beaux moments :
avons nous trouvé notre gourou roi des passes magnétiques envoutantes ?
Avec une grande habituée du festival
des retrouvailles de choc !
Photo prise sur scène par Michel Coulombe lors de la remise du Grand Prix
Une petite pause réconfortante en ce début d'année...
Où l'on voit que la photo argentique avait de très bons côtés !
je vous retrouve mi février pour un compte-rendu du festival international du court métrage de Clermont-Ferrand où une fois de plus j'animerai les débats... beaucoup de films, de rencontres et de fêtes... en attendant feuilletez le catalogue de ce grand rendez-vous incontournable : ICI
À Rouen, la maison de 1915, détruite, sera bien reconstruite près de l'hôtel de luxe. Alors qu'un amas de pierres a remplacé la maison de 1915, près de la Tour Jeanne d'Arc, à Rouen, l'adjointe à l'urbanisme confirme que l'habitation sera bien reconstruite.
La maison de style néo-gothique, que d’aucuns voient plutôt sous un angle art déco et qui ressemble désormais à un amas de gravats, rue du Donjon, à Rouen (Seine-Maritime), sera bien « reconstruite à l’identique », confirme à Normandie-actu, Christine Rambaud, adjointe au maire de Rouen, chargée de l’urbanisme. Depuis quelques jours, les Rouennais, amoureux du patrimoine, et notamment Les Amis des monuments rouennais, s’inquiétaient du sort réservé à la bâtisse, dans le cadre du projet de construction d’un hôtel de luxe, tout près de la Tour Jeanne d’Arc.
Des éléments sélectionnés et stockés, d’autres reproduits. Cette maison, qui date du début du siècle dernier, s’affaissait par endroits. Il faut souligner qu’elle a notamment été construite avec des parements en plâtre : tous les éléments qui pouvaient être conservés le sont, après avoir été sélectionnés. Ils ont été démontés, répertoriés, et stockés. Toutes les parties en plâtre, notamment, ont été moulées de manière à pouvoir être reproduites, à l’identique », détaille Christine Rambaud.
Les Rouennais, qui étaient attachés à cette maison, faisant partie de l’histoire de la ville, peuvent donc être rassurés : cette habitation ne va pas disparaître du paysage et devrait s’intégrer au sein de l’ensemble hôtelier grand luxe, qui, lui-même, prendra évidemment aussi en compte, le proche voisinage de l’historique Tour Jeanne d’Arc. Les contraintes notifiées dans le permis de construire seront donc respectées, assure la Ville de Rouen.
La grille a été conservée. D’ici quelques mois, la maison va donc renaître de ses gravats à quelques mètres près de l’emplacement où elle se trouvait : et si elle ne sera effectivement pas reconstruite pierre par pierre, ses éléments les plus remarquables, comme des gargouilles par exemple, vont toutefois être réutilisés, après avoir été restaurés quand le besoin se fera sentir. L’architecte chargé du projet a fait les choses dans les règles. « Les grilles ont été conservées », ajoute l’adjointe à la Ville de Rouen. En revanche, le garage, lui, a bel et bien été démoli sans espoir de renaissance.
Décor d’un film et théâtre de l’Histoire. Parmi les nombreux commentaires suscités par l’histoire de cette maison du début du XIXesiècle, la famille de son propriétaire initial mentionnait notamment, qu’au-delà de souvenirs personnels et nostalgiques qu’elle évoquait pour eux, elle avait aussi été le théâtre d’événements plus douloureux : pendant la Seconde Guerre mondiale, elle aurait en effet été « réquisitionnée pour servir de siège à la gestapo ». Mais la maison dite art déco et finalement, plutôt néo-gothique, a également été retenue pour le tournage d’une scène d’un film que les cinéphiles et amoureux de Rouen connaissent : Adieu Poulet, avec Lino Ventura et Patrick Dewaere. La maison va donc pouvoir continuer son histoire d’ici quelques mois et à quelques mètres près…
Regardez, l’extrait d’Adieu Poulet pour lequel la maison a servi de décor :