Dimanche 9h30 c’est le début du marathon des « Expresso » qui ont lieu de 9h30 à 13h30 salle Gripel à la Maison de la Culture. Pendant une semaine nous allons rencontrer environs 125 réalisateurs… Cette année pas d’ « Expresso » du matin mais des entretiens avec les réalisateurs que l’on peut retrouver sur https://www.clermont-filmfest.org/festival-du-court-metrage/la-brasserie-du-court/
Pour l’équipe des « Expresso » 2021 commence par une bonne nouvelle : Chloé Sanchez notre merveilleuse coordinatrice nous présente son petit Daruis, voilà une bonne nouvelle qui nous réjouit !
Ce festival en ligne tombe à point pour Chloé qui va pouvoir se consacrer totalement à son bébé…
LE COUP DE CŒUR DU JOUR :
J’ai eu la chance de voir tous les films de la compétition nationale et du labo. Dégagé de mes obligations de modérateur, je peux donc cette année sans soucis vous faire part de mes coups de cœur : Aujourd’hui 3ème jour du festival je vous recommande :
BRUITS BLANCS de Thomas Soulignac produit par Yukunkun Productions • fiction • 18'
Un film réjouissant plein d’idées, d’humour, de mystères et de comédiens parfaitement castés. Bref une vraie réussite !
Petit compte rendu de mon troisième jour au Festival du court métrage de Clermont-Ferrand : La Javanaise notre "cantine" après les "Expresso" du matin, petit tour au musée d'Art Roger Quilliot de Clermont-Ferrand pour découvrir l'expo-hommage à Rosto et finir la soirée au Bœuf Café avec l'équipe d'Off-Courts !
TOTAL FLASHBACK Images impressionnistes qui semblent patinées par les ans… un flou qui commence à envahir nos souvenirs du temps d’avant les gestes barrières :
Il y a 11 ans Clermont 2010 Au passage vous allez croiser : Michel Coulombe, Alain Burosse, Nicolas Schmerkin, Pascale Faure, Claire Lise Gaudichon, Jacques Curtil, Jean-Charles Mille, Roland Mguyen, Sylvie Dufaur, Frédéric Dubreuil et Joël Brisse figures famillières du festival…
Alors que l’on fête cette année les 20 ans de la sélection LABO voici en exclusivité des images de l'anniversaire des 10 ans du LABO en 2011 filmées au temps des des fêtes, des buffets et des cocktails de folie : une projection suivie d’une fête où les fidèles du festival reconnaitrons beaucoup de monde le tout sur une bande son saturée aux limites du supportable ( mais ça c'est la faute de l'Iphone ).
C'est images d'archives (provenant de la plateforme Dailymotion) semblent échapper à mon contrôle en se mettant automatiquement en mode lecture et sont suivies de messages publicitaires... faites moi part de vos remarques où de vos conseils pour essayer d'y remédier... Merci !
Si dès hier nous avons commencé à voir tous les programmes sur la plateforme du festival ( https://online.clermont-filmfest.org ) à Clermont-Ferrand dans la réalité du monde présentiel c'est le samedi dès 9h 30 que le coup d’envoi des projections est donné ! Le public commence alors à découvrir les films, pour le trio des modérateurs, Annick Rivoire, Claire Diao et moi, le samedi est une journée très tranquille puisque que les « Expresso » que nous animons ne commenceront que le lendemain dimanche à 9h30.
LES COUPS DE CŒUR DU JOUR :
J’ai eu la chance de voir tous les films de la compétion nationale et du labo. Dégagé de mes obligations de modérateur, cette année je peux donc vous faire part de mes coups de cœur : En bon normand je commence le petit bilan de mes chouchous 2021 par les films qui ont été aidés par Normandie Images.
Pour la région c’est une très bonne année 4 films en sélection officielle :
LOVE HURTS de Elsa Rysto produit par Yggdrasil Picture • fiction • 31'
Pendant toute la durée du festival je vous propose des petits retours dans "le monde d'avant" ou plutôt un petit...
RETOUR VERS LE FUTUR Samedi 1er février 2020 :
Deuxième jour. Les files matinales pour les toutes premières projections. Dans le sillage de Bruno Bouchard petite visite aux ateliers enfants animés entre autres par Nicolas Diologent et Alexandre Dubosc, puis petite soirée clermontoise...
TOTAL FLASHBACK Images impressionnistes qui semblent patinées par les ans… un flou qui commence à envahir nos souvenirs du temps d’avant les gestes barrières
Il y a 12 ans Clermont 2009 Le bar des Réalisateurs créé par la SRF et Sauve qui peut le court métrage a longtemps été un rendez-vous incontournable du festival.
Quand nous avons découvert l’an dernier la magnifique affiche explosive du Festival de Clermont Ferrand 2021 signée par l’illustratrice japonaise Yuko Chimizu nous étions loin d’imaginer à qu’elle point elle était prémonitoire. En effet le festival a depuis totalement explosé pour retomber en de multiples paillettes virtuelles éblouissantes sur toute « la planète court métrage ». Et oui, Corana oblige, la 43ème édition du festival est cette année totalement numérique !
Donc pas d’Expresso en salle Gripel ! C’est pour moi ma première année en 38 ans sans ce rendez-vous avec le public clermontois de 9h30 à 13h3 à la Maison de la Culture ! Ce rituel matinal en compagnie de mes si sympathiques partenaires Annick Rivoire et Claire Diao va terriblement me manquer dans toute cette semaine à venir !
Me voici donc loin du Puy de Dôme… Mais « Ô bonheur suprême » l’équipe de Sauve qui peut le court métrage m’a envoyé un merveilleux Kit-festival :
Timide un paquet de lentilles se cache derrière l’invitation officielle… et j’avoue qu’il a tort car c’est l’un des atouts majeur de ce Kit-Festival !
Ma seule présence (virtuelle) au festival cette année sera brève mais très flatteuse puisque j’ai la chance de remettre un Vercingétorix d’Honneur* à Pascale Faure. Cet événement qui sera diffusé pendant le festival a été capté à Paris le jeudi 21 janvier :
Le Vercingétorix est le trophée du festival de Clermont réservé au réalisateurs ayant un film primé par les trois jurys des trois compétitions officielles : Labo, nationale et internationale. C’est, vous vous en doutez, une récompance très convoitée, l’équivalant de la palme d’or cannoise pour les amateurs de courts métrages. Exceptionnellement il arrive que l’équipe organisatrice du festival remette un Vercingétorix d’Honneur à une personnalité marquante du monde du court métrage. Pascale Faure est la quatrième personne à recevoir ce prix. Jusqu’ici seuls Roland Mguyen, Olivier Smolders et moi même ont eu l’honneur d’avoir été désignés. Pascale Faure est donc la première femme à recevoir cette merveilleuse distinction !
Retrouvons Pascale et son trophée lors de la cérémonie d'ouverture présentée par le nouveau président du festival Eric Roux. Cérémonie filmée en direct avec mon iPhone mais hélas pas dans la grande salle de la maison de la culture de Clermont-Ferrand mais tout simplement sur mon ordinateur place de la rougemare à Rouen.
Et oui c'est bien Pierre-Dominique Burgaud le parolier des chansons de mon long métrage "Filles perdues cheveux gras" en image d'accueil sur cette vidéo. Il est en effet membre du jury de la compétition française.
LE COUP DE CŒUR DU JOUR :
J’ai eu la chance de voir tous les films de la compétion nationale et du labo. Dégagé de mes obligations de modérateur, cette année je peux donc vous faire part de mes coups de cœur :
Comme la plateforme n’ouvre officielement que cet après midi j'ai choisi un film hors compétition qui a déjà quelques années programmé dans la carte blanche donnée à Ikki Films :
LA SOLE, ENTRE L’EAU ET LE SABLE de Angèle Chiodo (2011) : Un de mes courts métrages culte. Un documentaire mélangeant allègrement l’image réelle, l’animation, le film animalier, l’introspection personnelle et les vieilles dentelles… un film hors normes !
Pendant toute la durée du festival je vous propose des petits retours dans "le monde d'avant" ou plutôt un petit...
RETOUR VERS LE FUTUR : Vendredi 31 janvier 2020 :
TOTAL FLASHBACK Images impressionnistes qui semblent patinées par les ans… un flou qui commence à envahir nos souvenirs du temps d’avant les gestes barrières
Il y a 13 ans Clermont 2008 (Les 30 ans du festival)Le vendredi d'ouverture avec tout plein de visages familiers et en prime un court extrait d'un concert de Cocoon !
en bonus, toujours en 2008, un Expresso avec le réalisateur Marc Fitoussi
Petit séjour express à Nantes pour participer à cette table ronde :
Il s'agissait de ma première participation à ce type d'évènement et ce fût je dois l'avouer un vrai plaisir, pour preuve ce petit compte-rendu vidéo filmé à la volée :
Non cet homme n'est pas Peter Mc. Cool mais tout simplement Thierry Lounas le grand ordonnateur de ces journées (avec Camille Chandelier, Lilie Padron et Victor Dupont).
À peine arrivé à Nantes c'est la projection du très réussi film La nuée en présence de son réalisateur Just Philippot
et pour clore ces belles rencontres une projection de 4 courts métrages remarquables : PALME de Mathilde Aplincourt (17') Un premier film très prometteur. BRUITS BLANCS de Thomas Soulignac (18') Une comédie pleine "d'esprits" inattendue qui nous fait dresser l'oreille ! GARÇON de Isabelle Schapira (16') En évitant bien des poncifs ce court métrage très maitrisé nous émeut sans nous apitoyer. FINALE de Stéphan Castang (27') Mention du jury et prix de la critique au festival Off-Courts de Trouville.
Dans la vidéo nous voyons les réalisateurs répondre aux questions du public et au passage vous reconnaitrez Pascale Faure, Thierry Lounas, Christine Gendre...
Cette 21ème rencontre France/Québec autour du court métrage à Trouville marquait pour la plus part des participants LE grand retour, à la fois professionnel et festif, dans "le vrai monde des festivals" en "présentiel" et cela depuis le rendez-vous de février du festival de Clermont-Ferrand. Ces retrouvailles furent une réelle réussite et cela malgré les gestes barrières, le gel, les masques et autres contraintes que l'on sait indispensables aujourd'hui.
Voici en 3 vidéos le preuve en image de cette réussite. Vous verrez que si les fêtes, les concerts, les cocktails... furent nombreux il y eu aussi beaucoup de rencontres professionnelles, de CA, d'AG, d'interviews constructifs sans parler de multiples rencontres passionnantes. Quant au projections la qualités des sélections restent un grand atout de ce festival Off-Courts. La remise du prix France Télévision jeunes producteurs et la présence en force cette année d'Unifrance en sont une preuve flagrante !
Voici donc le journal vidéo très confidentiel du président ( à vie ) du festival Off-Courts de Trouville
1/ du 4 au 8 septembre un démarrage en trombe :
Le 4 septembre : l'ouverture présentée par Samuel Prat et Émilie Moreault
Le 5 septembre : Lancement des Kinos. Première réunion du jury à la terrasse de la pâtisserie Charlotte Corday : Okinawa Guérard (Directrice de casting), Christian Cardon (ancien Maire de Trouville et soutien indéfectible du festival) et Constance Gay (Comédienne). Première projection masquée. Répétition de la chanteuse Annabella Hawk. Emcy ly maquillée pour le tournage d'un Kino. Le bar Kino-beer est inauguré par l'actrice, réalisatrice Aude Gogny-Goubert. Diner entre amis en terrasse assez tard dans la nuit. Et l'on retrouve Annabella Hawk sur scène.
Le 6 septembre : Pluie sur le port et le mur des comédiens. Vivi (Virginie Lederfajn) en plein travail, les kinoïtes sont tous en effervescence ! Diner au central en compagnie de Jean-Pierre Kalfon. Premier Kino-Cabaret. Tournage dans la nuit du Kino réalisé par Kryssa Florou avec la belle Jessyca comme observatrice éclairée !
Le 7 septembre : Déjeuner chez Marinette, la plage, projection et pot d'ouverture du marché du film en compagnie de Constance Gay, Clément Aubert (comédien) et deux producteurs belges. Fin de soirée avec Emcy, Marc, Nathalie, Martine (tous Kinoïtes) et Christine (Unifrance)... il est temps de rentrer à l'hôtel.
Le 8 septembre : Le village s'éveille. Au marché du film je visionne quelques films inédits en compagnie de Fabienne Bichet et Jean-Charles Mille. Merveilleux déjeuner sur la terrasse de la cabane perchée. Remise du prix France Télévision par Aurélie Chesnais. Deuxième soirée Kino-Kabaret présentée par Nicolas Boulanger très en verve et soutenu par Marc Andreoni. Concert de Charly Chanteur.
2/ du 9 au 10 tout s'accélère :
Le 9 septembre : C'est mon anniversaire et j'ai la chance de le célébrer tous les ans dans le cadre de ce festival, aussi je ne l'aurai jamais autant fêté que depuis que je suis président à vie du jury d'Off-Courts ! Débats sur les plateformes numériques consacrées aux court métrages. Les kinoïtes toujours en action. Je réponds aux questions de Pierre Papin pour OCS. Le réalisateur du film Sous la mousseOlivier Briand interviewé par Ivan Magrin Chagnolleau pour la web TV du festival. CA de Normandie Images présidé par Richard Patry. Débat sur l'impact dû de la crise sur les festivals et la diffusion des cours métrages. Remise des prix Unifrance, Réza Serkanian remet le grand prix à Génius Loci d'Adrien Mérigeau... ça s'arrose ! Distingué aussi par Unifrance,Miyu distribution (prix de la distribution) nous offre un agréable cocktail dans un lieu discret de la rue des bains. Ciné spectacle Roger est bout de souffle et petit tour au Central pour saluer toute l'équipe de Noé Normandie.
Le 10 septembre : Délibérations du jury. Je ne filme que les petits cafés pris en terrasse, après nous partons nous isoler au premier dans une salle privée... confidentialité oblige. J'aurai pourtant aimé filmer notre jurée canadienne Julie Le Breton avec qui nous avons beaucoup discuté sur le net, une vrai belle rencontre. Tous au diapason, sommes nous très vite tombés d'accord sur notre palmarès Franco/Québécois. Reunion de l'association Normandie Animation... et oui il y a beaucoup de gens qui font de l'animation en Normandie ! Lola répète son concert de la soirée à venir. Débat sur l'animation en Normandie (justement !). Retrouvaille entre normands au village avant le cocktail offert par Normandie Images ou je retrouve Roland Nguyen toujours très en forme. Dernier Kino-Kabaret 2020. Final en beauté avec Lola superbe dans un concert très réussi !
3/ Le 11 c'est déjà la fin :
Le 11 septembre : Dés le matin Thomas Lesourd est sur le pont pour travailler sur son grand projet Dragons Normands. Shazam, devant sa fresque, doit affronter une horde de lycéens à la l'attaque d'un des Dragons Normands. Et c'est déjà l'heure du palmarès: Samuel Prat et Sylvie de Gaetano (Maire de Trouville) ouvrent le bal. Gautier Rejou annonce les prix jeunes producteurs France Télévision. Le Jury de la critique (GaëlleBebin, Mari-Pauline Mollaret et Nicolas Thys) remet le prix des critiques à : Souvenir Souvenir de Bastien Dubois. C'est au tour du producteur Michel Tavares de brandir son trophée obtenu pour Finale signé Stephan Casting. Constance Gay annonce le prix d'interprétation : Mathilde Panis pour son interprétation dans Haut les pulls de Steve Achiepo. Puis c'est la joie communicative de Alexandre Dostie (réalisateur québécois) pour son prix du Jury remis à son film Je finirai en prison et l'émotion de François Deslile (réalisateur québécois) pour son prix du public remis à son film CHSLD. Remerciements de la réalisatrice Élodie Wallace prix du public pour son film Motus. Présentation des réalisateurs des films projetés en clôture, photo call et diner du jury et des lauréats au Central.
Final explosif avec le concert de Von Pourquery !
Voilà c'est fini il est minuit passé et nous sommes déjà le 12 septembre, dernier jour officiel du festival, avec dans l'après midi la projection des films primés dans la grande salle du casino de Trouville.
Et oui le 4 septembre ce sera l'ouverture du festival Off-Courts de Trouville !
Une fois de plus j'ai l'immense chance d'être dans le Jury... en très bonne compagnie !
Constance Gay (comédienne), Christian Cardon (ancien maire de Trouville-sur-Mer), Claude Duty (réalisateur et scénariste), Julie Le Breton (comédienne) et Okinawa Guérard (directrice de casting) formeront le jury de la 21e édition. Merci à eux et bonne chance aux films !
Les tote-bag sont arrivés... Jacky et Vivi sont ravis !
Et Jacky se plonge déjà dans le catalogue pour repérer les temps forts de la manifestation !
et voici la bande annonce :
Donc rendez-vous du 4 au 12 septembre à Trouville !
Toujours en plein classement de mes archives je retrouve cette page du catalogue des projections organisées par Dominique Noguez avec l'Institut Franco-Japonais de Tokyo dans le cadre des Trente ans de cinéma expérimental en France (1950-1980).
...voici de quoi tromper notre confinement. Après mes trois plus récents courts métrages en voici de plus anciens : avec pour commencer l'un des plus connus
LES ENERVES DE JUMIEGES
Production a.a.a. (Marcelle PONTI) (1986, 35m/m, scope, 20') avec Serge GIAMBERARDINO, Jean Philippe SARTHOU et Anne LE GUERNEC images : François CHENIVESSE "Sur la Seine, la dérive aux limites du rêve de deux princes mérovingiens suppliciés. »
Ma rencontre avec Jacques Rouxel et Marcelle Ponti mes premiers “vrais” producteurs. C’est mon premier film en 35 m/m avec ma première aide du CNC. Tournage épique et très aquatique. Devenu film culte, Il reste mon film préféré.
Sélection Clermont-Ferrand, 1987 Sélection Internationale, Clermont-Ferrand, 1988 Prix CANAL + au Festival d'Albi, 1987 Prix de la meilleure image au Festival de Chalon-sur Saône, 1987 Mention au Festival de Oberhausen en Allemagne, 1987
Production a.a.a. (Marcelle PONTI) (1988, 35m/m, 4') images : Guy JACQUES "Dans une cuisine laboratoire, la fin tragique de légumes suicidaires. »
Mon court métrage qui a le plus circulé dans les festivals. Tourné dans ma cuisine sous l’oeil vigilant du regrété Guy Jacques qui a guidé mes premiers pas dans le monde le l’animation.
Mention au Festival d'Avoriaz, 1989 Diffusion Antenne 2, LA CINQ etc…
Stellaire Productions (Eric MAHÉ) et Guilliver Productions (Yann PIQUER) (1997, vidéo, 4'30) avec Thomas GERMAINE et Mathilde LE BREQIUIER Images : Wilfrid SEMPE “Quand vient la fin des vacances des décisions s’imposent…”
Fait le pendant à “Rupture imposée”. C’est un de mes court métrage préféré, surtout grâce au truquage final... un vieux fantasme.
Voilà de quoi vous occuper... Il ne vous en reste plus que 23 à découvrir. Pour cela on trouve encore sur le net ce DVD pour des prix défiants toute concurrence :
Et pour finir voici un prime, un petit bonus que l'on trouve aussi dans ce DVD ce n'est pas un court métrage mais la séquence finale d'IRMA VEP que j'ai exécutée en grattage sur pellicule pour Olivier Assayas :
IRMA VEP
de Olivier ASSAYAS IMA Productions (1996, 35m/m, 5’) Réalisation du grattage sur pellicule de laséquence finaledu film.
Grâce aux longues heures de grattage sur pellicule effectuées sur ce film j’obtiens le statut d’intermittent du spectacle et deviens réalisateur à plein temps ! C’est la séquence fréférée de Jean-Luc Godard dans ce film.
...Voici les liens pour voir mes trois plus récents courts métrages :
LA PEINTURE À L'HUILE Envie de tempêtes (Frédéric DUBREUIL ) (2011, tourné en numérique exploité en DCP, 33’) « Dans son atelier un beau matin d'été, un peintre décide de réaliser une série de toiles en extérieur.Il plante son chevalet face à un paysage qui lui est familier.
Pendant 4 jours, son travail sera dicté par la nature qui l'entoure et ponctué par des rencontres à la fois banales et imprévues.» Sélection au panorama de Côté Court (Pantin 2011) et Cinémed (Montpellier 2011)... Diffusion FRANCE 2 Le premier d'une série de courts métrages inspirés par des lieux et des maisons familiers.
LA MUSIQUE À L'EAU Envie de tempêtes (Frédéric DUBREUIL ) (2017, tourné en numérique exploité en DCP, 24’) «Agent immobilier, Laure, termine sa semaine de travail par la visite d’une villa au bord de la mer. Apparemment dans une passe difficile, elle décide brusquement de faire une pause dans ce coin perdu de la côte Normande. Elle va alors vivre trois jours paisibles et vivifiants, rythmés par le vent, les embruns et de brèves rencontres sans histoire et pourtant il s’agira pour elle d’un week-end décisif.» Programmation Off Courts Trouville 2017 Programmation Festival de Brest 2017 Sélectionné au Festival du film romantique (Cabourg 2018) Diffusion FRANCE 2
LE SOIR AU FOND DES BOIS Lafine & Kipe (Claude DUTY ) (2019, tourné en numérique exploité en DCP, 22’) «Petite chronique en 7 jeudis de la vie de Philippe, pianiste concertiste, dans sa petite maison où Michel Deville a tourné il y a bien longtemps...»