Une petite vidéo pour en savoir plus sur le juré fantôme du dernier festival de Clermont-Ferrand. C'est sa dernière apparition à la télé. Tout s'explique :
Enfin je pourrai dire que je l'ai croisé dans les couloirs de l'hôtel Mercure à Clermont-Ferrand en 2010. Pour un fan de "la mort d'Orion" c'est déjà beaucoup !
Samedi 6, la déferlante des "Vercingétorix" sur la scène de la maison de la culture de Clermont Ferrand a marqué la fin d'un festival toujours aussi passionnant avec cette année encore plus de monde !
Petit Flashback (Ambiances du festival captées en « tourné-monté » sur mon iPhone)
Vendredi 29 janvier ouverture officielle dans la grande salle de la maison de la culture et pour la première fois je filme l'arrivée du public depuis les coulisses... un spectacle impressionnant ! La fête d'ouverture marque le coup d'envoi des festivités dans L'électric Palace qui va tenter (et presque réussir) de nous faire oublier la très regrettée brasserie de la gare routière.
Déjeuner à l’Electric Palace en compagnie de Michel Coulombe et Alain Burosse mes 2 acolithes débateurs, restau avec Nicolas Schmerkin, projection en cabine aux Ambiances, "Expressos" matinaux, petit tour au marché du film avec Pascale Faure, la fêtes Suisse, poker nocturne, télé devant les casiers, passage obligé à l’Univers, diner au Bistrot Bancal, rendez-vous au bar des réalisateurs, "Autour de minuit" fête sa nomination aux « Oscar » et dernier verre au Mercure.
Toujours les "Expressos" du matin. Soirée au "Bio". Trop brève visite à l'atelier pour un tournage en 3D et c'est déjà le moment de présenter "la collection pique sa crise". Pour se remettre de ses émotions dîner très sympa au Bistrot Bancal et en route pour la fêtes Canal. Dés 9 h 30 bon pied bon oeil pour les débats. Petit tour au marché, dans les cartons, c'est déjà la fin ! Anniversaire de Michel chez Nivesse, le roi du fromage, un moment formidable !
Derniers "Expressos" du matin le samedi 6 février. Et pour finir : le marathon des trois soirées de clôture. Le pot des bénévoles pendant que les spectateurs de la dernière séance de 23 h 30 font la queue dans les couloirs. Sur scène avec jean-Claude et Antoine nous sommes toujours étonnés de voir la salle Cocteau faire le plein 3 fois de suite ! Sur l'écran une bande annonce réalisée début novembre à la Poudrière.
Pour terminer l'année trois jours à Clermont-Ferrand dans les locaux de Sauve qui peut le court métrage. Visionnage des 56 films de la compétition française... de 1 à 59 minutes.
Je prends un peu d'avance sur mes débats du matin.
Rendez-vous dés dimanche 31 janvier 9 h 30 maison de la Culture de Clermont-Ferrand salle Gripel pour le coup d'envoi des"expresso" en compagnie de Michel Coulombe et Alain Burosse.
Pour finir en beauté ce beau festival le final du kitchissime film russe "les zazous" un mixte détonnant entre le réalisme soviétique Hollywood et Bollywood, avec Anton Shagin prix d'interprétation masculine.
Carnet de croquis filmé avec mon Iphone dans les coulisses de la première édition Festival
du Cinéma Européen des Arcs :
J –2 Départ de
Paris pour Bourg Saint Maurice avec Marie-Christine Malbert, le staff des
Piquantes et Frédéric Boyer. Une petite expédition avec accrochage sur la
route. Découverte de l’impressionnante salle Taillefer, il va falloir la
remplir, angoisse ! L’équipe est enfin au grand complet mais seule dans la
station… potée dans les chambres, anniversaire de Zsofia…
J –1 Journée
voiture ! Aller-retour de 4 heures vers Annecy pour un bref passage sur TV
8 Mont Blanc avec retour sans phares sous la neige… c’est Shining
avec en prime le labyrinthe des couloirs de l’Auberge Jérôme. Fébrilité
des dernières heures au bureau et premier dîner à l’Arcelle avec les tout
premiers réalisateurs arrivés. C’est demain le grand jour !
Samedi 5 décembre l’ouverture : L’accueil des invités, c’est parti ! Au niveau –4 le bureau est sur les dents. En route pour la salle Taillefer. Répétitions et enfin
l’ouverture officielle. La fièvre au carré VIP puis le calme pendant le projection
du film « Io sono l’amore » du
réalisateur italien Luca Guadagnino qui discute avec Frédéric Boyer. La première fête du festival…
Dimanche 6 le festival prend ses marques : Dés le matin 10 h. ça travaille dur au forum des
co-producteurs. Rendez vous avec Samia et Vincent au bureau des attachées
de presse. Repas au chalet avec le réalisateur bulgare Javor Gardev
et la jeune comédienne allemande Julia Jentsch. Rencontre avec le très jeune acteur finlandais Nillo
Syväoja dans le hall de Taillefer. On termine la soirée « O chaud » !
Lundi 7 au rythme des projections et des
navettes : Un bon petit déjeuner pour toute l’équipe avant de se
mettre au travaille. Au bureau la désormais traditionnelle réunion de 10 h. qui
a lieu à 11 h. Le triomphe du film irlandais « Kisses » en séance scolaire pour la plus grande joie de son
jeune producteur. Le film russe « Les Zazous » enchante les spectateurs de plus en plus nombreux.
Mardi 8 le festival prend de l’altitude : Petit déjeuner à l’aiguille rouge (3000 m) avec un panorama
grandiose par –15°. Tout cela donne des envies de ski ! Projection pleine à craquer à Bourg Saint Maurice pour
Jean Paul Guyon le réalisateur de « Sommeil blanc ». Bref passage « O chaud » avant de rejoindre les « after » dans les
appartements…
Mercredi 9 vitesse de croisière : Toujours la réunion de 10/11 h. Séance de travail pour les Écoles Européennes de Cinéma. Le rituel de la location des skis. Arrivée des participants aux journées DIRE. Retrouvailles avec la réalisatrice belge Dorothée Van Den
Berghe que j’avais croisée il y bien longtemps à Clermont. Projection de « le reste est silence » du réalisateur roumain Nae Caranfil. Fin de soirée-billard avec le staff.
Jeudi 10 le jury délibère : Rendez-vous avec de jeunes reporters. Le jury prend la pause devant le Mont Blanc. Déjeuner avec les représentants des commerçants de Bourg
saint Maurice les Arcs… Et la fête continue.
Sur scène pour la clôture de la première édition du "Festival du cinéma européen des Arcs".
Nous nous demandions si le pari n'était pas trop risqué : la date hors saison de ski, l'éclatement du lieu, le public impossible à cerner...
et bien tout c'est très très bien passé : du monde dans les salles, des professionnels heureux, une programmation très séduisante et intelligente, un jury de rêve, des débats et des tables rondes pointus, de la neige, du soleil, des fêtes...
bref une vrai réussite !
Très bientôt les carnets de croquis des coulisses filmés avec mon Iphone...
Photo Patrice Caré qui a suivi avec enthousiasme ce 1er festival.
En moins de 10 minutes la fête des 10 ans "Du grain à démoudre", LE festival de Gonfreville l'Orcher, vu par mon iPhone ! Tous les fidèles étaient au rendez-vous.
Petit tour à Gonfreville l'Orcher près du havre pour le dixième étidion du festival "Du grain à démoudre". Une occasion pour retrouver Joseph Morder, Ginette Dislaire, Matthieu Serveau et bien sûr toute la jeune équipe de ce sympathique festival. 10 ans déjà !