Depuis le temps que j'entendais parler de ce festival, j'ai enfin pu, grâce à Maya et Jacques Kermabon, le découvrir ! Et j'avoue avoir été totalement séduit.
Une 35ème édition très réussie avec pour invités d'honneurs Arnaud et Jean-Marie Larrieu dont ont pouvait revoir tous les films.
Pour vous en faire une idée voici deux petites vidéos captées pendant mon séjour à Gindou. Il faut avouer que la magie des projections en plein air passe assez mal dans ces petits croquis, en particulier la formidable projection de Lawrence d'Arabie sous le ciel étoilé du Lot que j'ai renoncé à la capter avec mon iPhone !
Vous allez dire que l'on passe son temps attablé en train de boire des coups dans une folle ambiance. C'est un peu vrai et ça fait parti du réel charme de cette manifestation, mais j'ai aussi assisté à des projections et à de nombreux débats. J'ai très peu filmé ses moments passionnants suivis par des sales bondées et chaleureuses !
L'ambiance des rencontres de Gindou est vraiment rare et exceptionnelle ! Une ambiance qui nous fait retrouver l'esprit d'origine de bien de festivals devenus depuis boursouflés et solennels
Je ne peux que vous encourager à découvrir dès l'an prochain la 36 ème édition des rencontres de Gindou ! Et comme moi certains jours vous ferez l'impasse sur le le cinéma pour découvrir les richesses touristiques du Lot... tourisme vert et cinéma une belle formule pour l'été 2020 !
Depuis 1975 je me rends au Festival d'Annecy en compagnie de Claude Delafosse. C'est toujours un grand moment !
Cette année nous revoilà au cœur de cette manifestation phare de l'animation mondiale. En un peu plus de 12 minutes cette vidéo vous en donne un aperçu :
Les projections d'une très belle sélection, avec toujours un public passionné que l'on ne trouve qu'ici : "fusées, "le lapin ! le lapin", il va faire noir..." pour mieux décrypter ces mots de passe il faut venir dans les salles en "live" !
Les retrouvailles avec de vieux fidèles du festival.
Les rencontres avec les stars iconiques de l'image animée : Adriann Lokman qui présente sur la scène de Bonlieu son impressionnant court métrage Flow, Piort Dumala en tenue très décontractée venu présenté son superbe Last Supper et dans l'anonymat d'une file d'attente l'un des maîtres mondial du grattage sur pellicule Pierre Hebert en pleine discussion avec des admiratrices mexicaines.
Les expos, les conférences, les tables rondes et bien sûr le marché et son effervescence mais aussi ses tarifs d'accès qui donnent le vertige !!!
Les files d'attente qui cette année hélas battaient tous les records...
Les fêtes ici la très réussie soirée Titra-Film.
Les repas chaleureux où l'on commente avec passion les sélections.
Avec cette année une grande nouveauté une délégation normande très présente que l'on retrouve ici sur la plage et dans les les couloirs du Mifa (le marché du film).
La Normandie à Annecy ! Avec Normandie Animation, Normandie Images, Lanimea, Imaka Films, Dark Prince, Studio76, Claude Duty, Stéphane Piera, Wendy Griffiths, Vanessa Hébert, Galina Guine, Laurent Guine, Hélène Moinerie, Thierry Soto, Fanny Chereau pour une réunion de travail fructueuse.
Bref ! jetez vite un petit coup d'œil sur cette vidéo et vous comprendrez mieux pourquoi on craque pour ce merveilleux festival :
Me voici de retour du Festival de Cannes... et cette année je ne pensais pas faire de vidéo de mon séjour cannois, l'impression de déjà "filmé" peut être. Mais finalement je n'ai pas pu résister et voici donc, une fois de plus, mon petit bloc-notes video de cette 72ème édition :
le 18 mai :
Fidèle à ma promesse de ne rien filmer, je reste toute la journée sans faire d'image, mais vers 19h30 je finis quand même par craquer et sortir mon iPhone pour saisir le triomphe fait à Claude Lelouch dans le grand théâtre Lumière... Cha bada bada, cha bada bada... je n'ai plus qu'a continuer les jour suivants.
Le 19 mai :
Je continue donc à filmer et ce que je redoutais arrive : toujours les mêmes images. Mais arrivé à la Malmaison des images inédites se présentent à moi : les nouveaux bureaux de l'Acid. Un évènement pour cette association si dynamique qui se retrouve pour la première fois dans des locaux en plein soleil ! Au pantiero je vole des images de Jérémy en pleine discussion avec des lithuaniens en vu de la prochaine édition des Arcs Film Festival. Montée des marches de l'équipe de Portrait de la jeune fille en feu de Céline Sciamma. Je retrouve alors le train-train des plans classiques cannois jusqu'à la projection à la quinzaine des réalisateurs du film de Robert Eggers The firelight avec ses deux comédiens : Willem Dafoe et Robert Pattinson jamais filmés jusqu'ici par mon iPhone.
Le 20 mai :
Ce matin rien que des images matinales banales du Shop film corner, des marches et de la croissette avant le grand rush des projections :
mais à partir de 20h que de l'inédit ! Voici en exclusivité l'équipe des Arcs Film Festival en plein branle-bas de combat dans son appartement pour préparer son affrontement avec les autres festivals concurrents du DJ Contest ! Un affrontement titanesque qui à lieu au cours de la Nordic Party ! Mais laissons parler les images que j'ai volontairement gardées dans leur intégralité ATTENTION C'EST DU LOURD !
Le 21 mai :
Je n'avais jamais vraiment filmé mon itinéraire matinal pour rejoindre le Palais. Voilà c'est chose faites ! Arrivé au stand des exploitants, je surprends Gérard Lemoine très en forme après plusieurs jours de festival. Mon producteur Nicolas Brevière m'entraine dans une ronde de rendez-vous infilmables (confidentialité oblige). Des images rares de cocktails moins médiatisés et pourtant très sympathiques : Ici celui offert par la CST. Ensuite c'est le scoop : la cantine du palais des festivals dont j'ignorais l'existence ! Merci Colette pour cette découverte. Frédéric Boyer perdu dans la foule des chercheurs de places pour le Tarantino certes c'est pas nouveau mais il faut dire que le présence de Margot Robbie, Leonardo DiCaprio et Brad Pitt électrise comme rarement la croisette. Triomphe dans la salle à la clé ! Et pour finir un grand classique de ces bloc-notes cannois le diner que nous offre notre ami Richard à la Villa Archange de Bruno Oger... mais là on ne s'en lasse jamais !
Le 22 mai :
Inédit et grande première pour le Lab femmes de cinéma une rencontre avec des lycéens pour parler de la place des femmes dans le cinéma. Une matinée enrichissante. Il faut le dire le festival est l'occasion d'organisations de nombreuses opérations de sensibilisation au monde cinématographique auprès du grand public. Petit tour très "déjà vu" sur la plage de la Quinzaine des réalisateurs. Et départ pour un haut lieu gastronomique des nuit cannoises Le Michelangelo de Mamo à Antibes où nous attend une fabuleuse pizza aux truffes... un grand merci à Olivier ! Ambiance "italienne cinécittà" assurée...
Le 23 mai :
Mon dernier jour à Cannes. Images classiques de cocktail de remise de prix ici sur la terrasse d'Unifrance... et hop je file avec Pascale Faure découvrir le film de clôture de la Quinzaine des réalisateurs : Yves de Benoît Forgeard... belle ovation et fête dans la foulée avec toute l'équipe...
Une grande première aussi cette année, mais que hélas, je n'ai pas filmée c'est la remise du grand prix de la Semaine de la critique (le grand prix Nespresso) à un film d'Animation. Récompense qui réjouit tout le monde de l'animation, enfin reconnu dans une grande manifestation internationale (généraliste) de premier plan !
Bravo le jury de la semaine et surtout un grand coup de chapeau à Jérémy Clapin et son producteur Marc de Pontavice !
Voilà Cannes est maintenant derrière nous... À l'an prochain avec un nouveau bloc-notes ? qui sait ?
L'affiche du festival de Cannes de cette année est particulièrement réussie. Un bel hommage à Agnès Varda qui de plus symbolise parfaitement la dynamique créative d'un tournage à chaud sur le terrain ! Et pourtant il y a une petite ombre au tableau*.
Pour réaliser cette lumineuse et chaude évocation d'une cinéaste au travail à partir d'une photo originale du tournage de La Pointe courte (1955) la graphiste Flore Maquin a gommé la scripte du film. Quand on sait que ce poste, essentiel sur un tournage, est actuellement le premier sacrifié sur les films "lowbudget", c'est assez symbolique !
Mais il faut l'avouer le résultat final donne une très belle affiche, efficace et très évocatrice !
Les scriptes le comprendront, elles qui savent être si discrètes et modestes aux côtés des réalisateurs... et elles seront elles aussi sûrement enchantées de ce bel hommage à Agnès Varda et au cinéma dans son ensemble !
Quand comprendra-t'on en Normandie que l'on tient avec Nicolas Bellenchombre un très talentueux organisateur d'évènements cinématographiques ?
La 6ème édition du Festival du Cinéma Canadien qui vient de se dérouler à Dieppe et Le Festival des Villes Sœurs consacré au Maquillage, à la coiffure et aux costumes en Octobre dernier au Tréport, Eu et Mers en sont une preuve éclatante !
Et oui une fois de plus je me suis retrouvé à Dieppe au cœur du Festival du Film Canadien pour deux jours seulement cette année. J'y ai suivi le Jury composé de Frédéric Fiefenthal (Comédien et producteur), Délphine lemoine (Réalisatrice), Daniel Lavoie (Auteur, compositeur, interprète et comédien), Dominique Lagrou-Sempère (Journaliste) et Daniel Morin (Producteur canadien). Et une fois de plus j'ai tenu un petit journal filmé de ces deux belles journées :
Première journée :
Un point de chute inévitable Le Tout Va Bien. Les projections au Rex animées par le brillant programmateur Guillaume Dauzou. En terrasse avec le jury, c'est déjà l'été ! Et pour finir la soirée spéciale Kanada sous chapiteau, arrosée de sirop d'érable avec en prime un chant inuit entonné de façon très improvisé par le réalisatrice (multi primée quelques instants auparavant) Lucy Tulurgaluk.
Deuxième journée :
Un réveil en fanfare au son des vieilles cylindrées. Petit café du matin au Tout Va Bien. Petite séance photo sous chapiteau. Pause à l'Hotel Aguado. Retour dans les salles pour Le chemin de la guérison un film d'Alanis Obomsawin une grande documentariste canadienne présenté par Élise Labbé de l'ONF (Office National du Film Canadien). On attend le coup d'envoi des festivités finales en terrasse et sur les quais ensoleillés, dernières photos souvenirs et en c'est déjà la cérémonie de clôture présentée par Jean-Sébastien Petitdemange !
Un grand, grand bravo à toute cette équipe très chaleureuse !
Une dernière photo de groupe : Jury, équipe, fidèles du festival...
Mercredi 27 mars sort sur les écrans le film C'est ça l'amour, l'occasion d'un petit retour en arrière :
Le vendredi 21 décembre 2018 sur la scène des Arcs Film Festival sa réalisatrice Claire Burger recevait la flèche de Cristal grand trophée du festival. Son comédien Bouli Lanners étais sacré meilleur comédien masculin et le jury presse en faisait son film favori ! Beau triomphe pour ce film émouvant déjà primé à la Mostra de Venise.
Les deux comédiens Bouli Lanners, Sarah Henochsberg et la réalisatrice Claire Burger
La même semaine, toujours dans le cadre de ce festival de cinéma européen, Claire Burger recevait le prix Femme de Cinéma Sisley / les Arcs.
Claire Burger et le trophée Femme de Cinéma Sisley / Les Arcs 2018
début mars, au cours d'une des nombreuses avant-première du film, j'ai eu l'occasion d'animer un débat avec Claire :
et tout récemment à Rouen c'était au tour de l'Omnia de recevoir l'équipe du film, une belle soirée. Petit instantané en vidéo :
Alors soyez au rendez-vous mercredi 27 mars pour découvrir la flèche de cristal du 10ème Les Arcs Film Festival
Et oui Le 41ème Festival du Court Métrage de Clermont-Ferrand était pour moi cette année le 37ème
Une longue histoire commencée en avril 1982 par la sélection de mon film Observation de l'hématozoaire de Laveran projeté au cinéma le globe devant le premier jury du festival : Catherine Alméras (Comédienne), Gilles Colpart (Journaliste), Jean-Pierre Fontana (Romancier, Anthologiste et Journaliste), Dominique Laffin (Comédienne), Rémi Laurent (Comédien), Lam-Lé (Réalisateur) et Myriam Mézière (Comédienne).
Mon premier film à Clermont Ferrand :
J'y revenais l'année suivante avec un autre film en sélection Mode d'emploi (un autre grattage sur pellicule) et surtout une nouvelle mission animer les débats avec les réalisateurs. Depuis j'assure tous ces "rendez-vous" sans en avoir raté aucun, d'abord seul puis en compagnie, au fil des années, de merveilleux partenaires : Raphaël Chauvet, Michel Coulombe, Alain Burosse, Annick Rivoire et Claire Diao. Ces rencontres avec le temps sont devenues les Expresso du matin. Cette année Annick, Claire et moi avons rencontré 123 réalisateurs !
Une 37ème année, déjà, et comme tous les ans je filme. J'ai l'impression de refaire toujours les mêmes images pourtant les années passent mais les rituels du festival restent les mêmes à quelques "petits détails" près.
Donc voici les vidéos de l'édition 2019, j'avoue (pour les raisons évoquées ci-dessus) avoir été un peu paresseux avec mon iPhone cette année à tel point que je n'ai rien filmé le deuxième jour du festival...
1 / L'ouverture. Une cérémonie dont j'ai longtemps été le monsieur loyal. Cette année elle fut particulièrement réussie avec un Pierre Zéni très à l'aise dans le rôle de meneur de jeu.
2 / Le deuxième jour je retrouve mes marques et l'équipe des Expresso. Vers 18h tout le monde se rue vers le 1er Cocktail du festival offert par les Suisse. C'est désormais une tradition incontournable. Comme je vous l'ai dit pas d'images pour cette journée... Le lendemain les choses sérieuses commencent : le premier Expresso du matin. Le soir diner avec toute l'équipe d'Off-Courts (le festival de Trouville) au Bœuf café où l'on fête l'anniversaire d'Isabelle Le Guern. et bien sûr terminer la soirée par un petit tour à l'Univers le point de chute inévitable de la nuit.
3 /Notre début de journée de 9H30 à 13h30... d'accord il y a moins de monde à 13h40 quand on dépasse légèrement ! Rendez-vous avec Pascale Faure à l'accueil du festival. Un verre à notre cantine La Javanaise et je rejoins l'équipe d'Off-courts et les talents 2019 de la Fête de Court Métrage pour un diner très animé.
4 /Toujours fidèle à l'hôtel Mercure je quitte ma chambre pour être à 9h30, bon pied bon œil, à la salle Gripel. Lancement de la Fête du Court Métrage présentée par Samuel Prat avec discours de Claire Denis à la clé. Repas entre amis dans le vieux Clermont puis la fête très courue d'Autour de minuit qui ont pour ne pas changer cette année de nombreux films d'animations en sélection (si la vidéo est bloquée c'est dû aux choix musicaux du DJ !). Final arrosé à l'Univers.
5 / Ma soirée collection CANAL+ en compagnie de Pascale Faure. Projection présentée par Pascale et Thierry Lumas, cocktail très réussi avec un concert très prive de Marie Modiano et Peter Von Poehl (hélas très peu d'images ) Décidément une très belle belle !
6 / Après l'Expresso du jour rendez-vous avec Annick et Michel amis clermontois à la Fée Carrosse pour nos retrouvailles annuelles loin de l'agitation du festival. Petit tour au marché avec mon stand préféré celui de la Normandie, mon point de chute favori ! Le cocktail de L'ADAMI où je retrouve Marie Bunel la toute première comédienne que j'ai dirigée, grand moment de nostalgie !
Autre grand moment du festival le diner de la SACD... et retour par la case Univers.
7 /Toujours l'Expresso du matin. Signature d'Annick Rivoire de son superbe livre Poptronics à la librairie des Volcans.
Et c'est le rendez-vous sacré du vendredi soir institué par notre Michel préféré "le diner Fromages" souvent copié mais jamais égalé !
Certains pourront s'amuser à identifier ceux qui sont autour de cette belle table préparée par Olivier Nivesse.
8 /Après notre dernier Expresso dernier déjeuner à la Javanaise tandis-que la rue bruisse de Gilets Jaunes... le festival tire à sa fin !
Et oui les images semblent toujours les mêmes et pourtant chaque festival est toujours unique et merveilleusement chaleureux ! C'est sans doute pour cette raison que je m'y retrouve tous les ans depuis 1982 comme suspendu dans l'espace temps !
Récapitulatif concernant la sélection nationale effectué par Claire Diao :
Petite précision : 6 films soutenus par "Mormandie-Images" dont 5 en sélection officielle :
Air comprimé - 24 min de Antoine Giorgini
Claude Libre - 17 min de Thomas Buisson
Matador - 24 min de Mathias Jenny
Moi votre ami - 27 min de Camille Polet
Pile poil - 21 min de Lauriane Escaffre et Yvo Muller.
(Qui se retrouve au Palmarès avec le prix de l'humour Fernand Raynaud)
et hors compétition dans le programme courts en musique :
Dans la salle mythique de l'ex Cinémathèque de Paris au palais de Chaillot, les Arcs Film Festival vient de recevoir la mention du jeune festival 2018 au cours de la remise des Prix Henri Langlois 2018. Et quand on sait que le prix du festival 2018 est allé à la Mostra de Venise nous sommes très fiers !
Discours, congratulations, cocktail... petit compte rendu vidéo :
Pierre Emmanuel Fleurantin et Guillaume Calop les créateurs des Arcs Film Festival sont tout émus de recevoir ce beau prix juste après le président de la Mostra de Venise Alberto Barbera l'autre heureux lauréat !
Pour tout savoir sur les prix Henri Langlois tapez sur :
Du 15 au 22 décembre 2018 a eu lieu la 10ème édition des ARCS FILM FESTIVAL en voici une petite chronique filmée quasiment en "tourné/monté"
Le 12 décembre avec Fabienne Sylvestre (déléguée aux relations publiques et institutionnelles) et Frédéric Boyer (directeur artistique) nous rejoignons, l'équipe déjà à pied d'œuvre depuis le 7 décembre. Dès l'arrivée c'est la traditionnelle réunion avec les bénévoles. Retrouvailles chaleureuses et pour certains un premiers contact avec toute l'équipe de cette 10ème édition. Recommandations par Guillaume Calop (délégué général du festival) et Pierre Emmanuel Fleurantin (directeur général du festival), buffet, gâteau et discours du maire Michel Giraudy. Retour à 1950 ou le noyau dur du festival se retrouve pour une dégustation de vins choisis par Pierre Emmanuel grand œnologue devant l'éternel ! Je découvre mon appartement, il se fait tard...
Le 13 décembre vue matinale de ma terrasse sur 1950. Au bureau c'est l'effervescence. Découverte du chalet perché futur point de chute des soirées du festival :
14 décembre au bureau le décompte est commencé et c'est la grande réunion préparatoire : force et détermination ! Dernières mises aux points pendant le déjeuner. Les premiers arrivants : l'équipe de notre partenaire Sisley. Première soirée avec le jury et les premiers invités au Sanglier qui fume. Vous pouvez vous amuser à découvrir au fil des images : Jean-Benoît Dunckel (Air), Lukasz zal (chef opérateur de Ida), Pierre do de Lencquesaing, Héléna Noguera ou Alex Lutz. Retour vers 1950 et première incursion chez Ochaud haut lieu des folles nuits du festival. Retour tardif au Manoir Savoie, il se fait tard...
15 décembre 8 h. première réunion matinale de l'équipe ! Patrice Carré me filme pour le magazine du festival. Laurent Rivoire (grand ordonnateur du Jury) et Hassan Guerrar (attaché de presse des stars) échangent quelques vieux souvenirs. On file à la salle Taillefer pour répéter la cérémonie d'ouverture... stress et trac ! Je découvre la salle où auront lieu les concerts de la nuits. Diner d'ouverture devant une fondue. Le public et subjugué par la voix magnétique d'Adam Nass et l'explosive Yelle... complètement fou ! Une folle ambiance qui se prolonge tard dans la nuit au spa :
16 décembre après la fête retour à la réalité. Séance de présentation du Working progress à Arcs 2000. Déjeuner Femme de Cinéma au Savoy à 2000. Audrey Lamy en plein tournage avec l'Équipe du Quotidien. Petite pause pour les photographes du festival. Une authentique raclette à Bourg Saint Maurice pendant la projection de L'heure de la sortie avec le réalisateur Sébastien Marnier ! Retour à 1950 en passant par la case Ochaud :
17 décembre la réunion de 8h suivie d'un atelier Lab Femmes de Cinéma. Cocktail après l'inauguration de la Pistes des étoiles. Le salon VIP du Galaxie à Bourg Saint Maurice très calme pendant les projections. Retour à 2000 pour une folle soirée bowling où Agnès Mouchel (ma monteuse) et Jacques Kermabon (responsable de la sélection des courts métrages du festival) s'en donnent à cœur joie ! Petit tour chez Ochaud puis au Chalet perché :
18 décembre l'incontournable petit déjeuner à l'aiguille Rouge à 3000 m. , Chartreuse, café, discours et saut dans la neige de Laurent Rivoire ! Déjeuner à Bourg Saint Maurice suivi de la masterclass de Valéria Bruni-Tedeschi animée par l'équipe d'Hors-Champ. Ciné concert par Grandbrothers à La Scène de Bourg Saint Maurice suivi de son cocktail... et je remonte dans nuit à 1950 pour atterrir au chalet perché et à Ochaud...
19 décembre pause au Savoy à 2000 en compagnie de Nuria et Delphine des fidèles du festival puis à l'appartement avec le reste la bande : Jacques, Maya, Françoise et Claire Lise c'est le moment où l'on fait un peu le planning des journées de chacun. Neige sur la station. Pendant un diner très privé au Taj-i Mah, Guillaume et Pierre Emmanuel découvrent ,sous le regard ému du jury au grand complet, le palmarès en avant première et en toute confidentialité. Retour dans nuit :
20 décembre descente vers la salle Taillefer pour retrouver le Jury jeune qui délibère (délibérations non filmées confidentialité oblige). Déjeuner chez Luigi l'adresse "fondatrice" de la station. Au bureau c'est toujours l'effervescence comme aux premières heures. Et c'est l'émouvant et chaleureux diner des 10 ans à 2000. Discours, gâteau, champagne et petites larmes ! Fin de soirée tard dans la nuit chez Ochaud :
21 décembre dernier petit-déjeuner ensemble au manoir Savoie où je retrouve l'équipe des festivals de Dieppe et des Villes Sœurs. Puis c'est l'instant tant redouté de la cérémonie de Clôture !!!! Soirée de clôture chez Luigi. Dernier concert : Malik Djoudi et c'est Etienne Tricard (responsable musical du festival) aux platines qui donne la touche musicale finale à ce 10ème festival !
Voilà cette merveilleuse édition est déjà derrière nous... en guise de flashback voici quelques photos :
Dans le prestigieux cadre de l'Hôtel de la Monnaie de Paris au cœur de l'exposition Grayson Perry lancement officiel de le 10ème édition des les Arcs Films Festival :
et c'est l'occasion de se faire tirer le portrait par le talentueux PIDZ :
Pierre-Emmanuel Fleurantin et la comédienneTiphaine Daviot