Samedi 5 décembre 2020 un sommaire un peu dans tous les sens : Le gros horloge, autographes, couscous, peinture, nouvelle maison, château-fort, manif, cadeau et Julien Doré ! Bref la routine d'un confinement...
Mardi 1er et mercredi 2 décembre 2020 petites pérégrinations ici et là : Un petit survol du Sommet Exploitants-Distributeurs des Arcs Film Festival, un tour d'horizon à Marrakech, une traversée express du Massif Central, une balade (et ballade) émouvante sous les voutes des cathédrales, une promenade dans la neige au Carry, une visite express juste le temps d'un café au 14 place de la rougemare avant de retourner flâner sous les voutes de la cathédrale de Chartres.
(à suivre...)
On peut voir et entendre dans cette video :
Des extraits de deux films programmés aux Arcs Films Festival : Zaï, Zaï, Zaï ! de François Desagnat avec Jean-Paul Rouve et Julie Depardieu et L'homme qui a vendu sa peau de Kaouther Ben Hania avec Yahya Mahayni et Monica Bellucci. Films que vous pourrez découvrir pendant le durée du festival du 15 au 31 décembre dans l'une des 76 salles françaises qui participent au programme Hors Pistes des Arcs film festival.
Des images extraites du Magazine Des racines et des ailes diffusé le mercredi 2 décembre 2020 à 21h05 sur France 3.
Une video d'Anne Sylvestre interprétant Les cathédrales chanson extraite de son premier album sorti en 1961.
et dans son intégralité du film expérimental inédit de Pierre-Alexandre Jouvançon : Bande Passante
Ce Lundi 30 novembre 2020 des artistes en tous genres : Philippe Davenet, Sylvie Abault, Pierre Garcette, Sabine Krawzcyk, claude Delafosse, Tazar, Nicolas Le Cauchois, Hugh Grant, Nicole Kidman, avec en prime... des vaches, des vaches, beaucoup de vaches !
(à suivre...)
Pour voir dans son intégralité la vidéo de Jeanne Delafosse sur l'exposition de Claude et Sabine : https://vimeo.com/485095010
AUTOUR DU POT a de grande chance d'être à nouveau visible (dans un lieu non encore déterminé) après le confinement !
Quelques mots clés de ce ce 20ème numéro de Je reconfine ! :
K7, DV, zoom, pause, festival, Q&A, technicolor, stars... ce vendredi 27 novembre est apparemment très cinéma.
Appartement avec vue, abbatiale, vitraux, chantier, plan, cheminée, tableaux, cimaises... le samedi 28 novembre est, quant à lui, plutôt maison et architecture...
à vous d'en juger :
(à suivre...)
et une fois de plus merci et bravo à Anne-Marie Legras pour me signaler mes bévues !
Jeudi 26 "Jeudi" c'est le jour d'Aissatou. Grande réunion du staff des Arcs Film Festival... malgré les circonstances actuelles nous restons optimistes ! Petit tour à Marrakech grâce Jean-Louis... l'après midi se déroule calmement... séance d'hypnose dans la soirée !
Un début de semaine ronronnant dans la routine d'un confinement qui semble s'éterniser. Heureusement que l'ami Philippe nous propose une petite promenade nostalgique dans son jardin et que l'équipe du Sommet des Arcs Film Festival me permet de retrouver l'ambiance de mon festival de prédilection et je vois avec satisfaction qu'il est bien vivant et dynamique malgré les aléas du moment !
Un 4ème week-end de reconfinement avec la participation de : Évariste Luminais, Félix Royer, Charles De Gaulle, Stéphane Bern, Martine Bavent, Claire-Lise Gaudichon (et ses petites jardinières : Anne, Zabeth et Maya), Daniel Graig et toute sa bande à couteau tiré, Nuria Rodriguez, Ingrid Gogny, Philippe Davenet, Jean-Louis Gonnet, Harry Muse... et Véra ! Tout ce petit monde s'agite sous l'œil délicieusement bienveillant d'Audrey Hepburn.
Dans ce numéro 16 le retour au confinement "normal" après 8 jours de total isolement, avec au programme : Caddy, lunettes noires, papier bulle, souris, américano, zoom et piano à queue !
(à suivre...)
Pour info :Cette sacrée gamine est sorti en 1956 c'est le 13ème film de Brigitte Bardot, Dieu créa la femme sortira la même année. Son succès est déjà international, pour preuve ces affiches avec le titre pour l'exploitation internationale Mademoiselle Pigalle :
Je tombe dessus en zappant tard dans la soirée... et une fois de plus je suis piégé par le casting des films de ces années, sans parler bien sûr du petit coté désut et "patiné" d'une époque qui semble bien lointaine en cette période que traversons.