François Henri Alexandre Lafond, est un peintre et chef d'établissement scolaire français. Fils de Marie Rose Lafond (1786-1874), François Henri Alexandre Lafond est reçu le 27 septembre 1830 à l'École des beaux-arts de Paris dans l'atelier de Jean-Auguste Dominique Ingres et échoue au prix de Rome de 1838 lors de la dernière épreuve, le sujet étant Saint Pierre guérissant un boiteux aux portes du temple. Il se lie d'amitié avec son condisciple Paul Flandrin et ses deux frères Auguste et Hippolyte. Il participe au Salon dès 1836 et obtient une médaille de 2e classe en 1857. En 1867, il est nommé professeur à l'école des beaux-arts de Limoges dont il prendra la direction un an plus tard, poste qu'il quitte en 1873.
Merci à Francis Rouseau pour ce site si riche en découvertes !
Comme promis voici quelques images et vidéos ramenées de la 46ème édition du Festival Internationale du Court Métrage de Clermont-Ferrand :
Photo souvenir juste avant une séance Micro je suis en compagnie (de gauche à droite) de : Stéphane Souillat (Coordinateur de la compétition nationale) Martin Bertier (producteur de Oyu), Pascale Faure (animatrice des séances Micro) Clément Pérot (Réalisateur de Dans la tête un orage) Laurier Fourniau (réalisateur de Vambora).
La traditionnelle et ultime photo prise pendant pendant la cocktail de clôture avec Esmeralda Petit Benito et Garry Doolaeghe de grands habitués du festival !
Esmeralda en totale osmose avec l'affiche du festival :
Petit clin d'œil aux folles soirées tardives au Bar L'Univers... Vive la Verveine du Velay !
Petit aperçu du concert événement de ce festival : Irène Drésel (membre du jury Labo) à la Coopérative de mai :
et bien sûr la remise des prix avec ses discours, ses rires, ses larmes, ses surprises, ses émotions, ses confettis et ses Vercingétorix !
Voici en 10 courtes vidéos un aperçu de la 15ème édition des Arcs Film Festival qui vient d'avoir lieu du 13 au 22 décembre 2023. Un anniversaire très réussi avec des invités exceptionnels...
1/ L'arrivée : 3 jours avant l'ouverture, arrivée à Bourg Saint Maurice les Arcs... avec Frédéric Boyer (directeur artistique du festival) et Fabienne Sylvestre (Directrice des relations institutionnelles et co-fondatrice du Lab. Femmes de Cinéma) nous fonçons vers Arc 1950 QG du festival où nous retrouvons toute l'équipe déjà installée depuis quelques jours. Soirée très agréable qui se termine par un exposé/dégustation magistral de Pierre-Emmanuel Fleurantin expert en vins et spiritueux !
2/ J-2 de l'ouverture : Toute l'équipe est en plein travail tandis que je tourne sous la direction magistrale de Allison Chassagne le clip que nous présenterons lors de la cérémonie d'ouverture... Le soir tout le monde se retrouve au restaurant le Perce Neige pour diner après dette journée de dur travail. Un dernier verre en compagnie de Fabienne Sylvestre et Anne Pouliguen responsable du Sommet et il temps de se coucher.
3/ C'est pour demain : Le grand jour est pour demain. Nous descendons à Bourg-Saint-Maurice pour rencontrer les bénévoles toujours aussi sympathiques et motivés on en profite pour faire un tour sur le sites du Festival : Le cinéma Le Cœur d'Or de Bourg., la grande salle Taillefer à Arc 1800 où Allison teste la scène que nous arpenterons demain soir. Arrivé à 1950 je retrouve mes amis Maya et Jacques Kermabon. Jacques a longtemps été le programmateur des courts métrages du Festival. Et il est temps de rejoindre les premiers arrivants pour un diner de bienvenue. Le jury est déjà à l'Auberge des Lys : Vincent Lacoste, Irène Drésel, Christine Angot, Rébecca Marder et le président Asghar Farhadi...
4/ L'ouverture : Réveil en fanfare à 8h pour notre première réunion quotidienne de planning. Avec Allison descente en funiculaire pour faire la promotion du festival à Bourg-Saint-Maurice avec en vedette invite le maire Mr. Guillaume Desrues himself ! Juste le temps de remonter et l'on fonce au maquillage... Allison est superbe mais hélas pas d'images de la cérémonie car nous étions tous le deux sur scène... on attend la captation ! On se remets de notre trac en bonne compagnie pendant le diner d'ouverture chez Luigi ! Tous les invités se retrouvent au concert exceptionnel de Zaho de Sagazan un véritable choc et ce n'est pas peu dire !
5/ c'est parti ! : Le festival est sur les rails... 8h réunion du matin. L'industry village est ouvert et c'est déjà l'effervescence. Petit tournage avec Allison pour la promo de la boutique du festival. Le formidable rendez-vous des professionnels "huitres et champagne" à 2000. Je finis ma journée par la présentation de La fille de son père en présence du réalisateur Erwan Le Duc et ces deux comédiens Nahuel Pérez Biscayart et Céleste Brunnquell...
6/ Folle journée : le déjeuner du jury au Taj-I Mah un moment très agréable en compagnie de Rébecca Marder, Vincent Lacoste, Jean-Victor Blanc, Asghar Farhadi, Sébastien Lifshitz... et c'est déjà l'heure du concert de Voyou à 2800 mètres face aux Alpes ! Une petite pause à l'appartement avec Gaspard et Nuria encore sous le choc "Voyou", je repars à l'industry Village pour assister à une remise de prix et file à Bourg où après un repas savoyard bien mérité j'enchaîne avec un Q&E la comédienne, du film Allemand Universal Théory de Timm Gröger, Olivia Ross. Je finis à Ochaud pour le grand retour du DJ Fred Métral ! Une folle soirée pur une folle journée !
7/ Une journée type : Traditionnel petit déjeuner de rencontre avec les invités arrivants ici l'équipe de notre partenaire "Pyrenex" à la table voisine une réunion professionnel très sérieuse... Je suis rejoint par Pascale Faure (elle aussi très séreuse) et Sébastien Lifshitz. Sur la terrasse de Luigi, avec Allison Chassagne tournage de la vidéo pour le prologue de la soirée de clôture qui se pointe déjà à l'horizon. Petite visite entre amis à la salle des Arcs 2000 où les séances du Sommet ont lieu. Et j'enchaîne par deux débats au cinéma Cœur d'Or en présence de Noée Abita Comédienne et sa réalisatrice Victoria Musiedlak pour Première Affaire et de Salif Cissé comédien et son réalisateur Julien Carpentier pour La vie de ma mère deux avant premières de films très réussis et qui ont déclenchés des discutions passionnantes. Retour vers minuit à 1950 pour me retrouver chez Ochaud.
8/ Aujourd'hui c'est tyrolienne :Guillaume Calop le délégué général du festival nous entraine à 2800 mètres d'altitude suivit par Runen Östlund et sa petite famille, Grégory Montel, Victor Belmondo, Asghar Farhad, Nadia Tereszkiewicz et bien d'autres (à vous de les reconnaître). Arrivé là haut la vue est plutôt bouchée mais une attraction de choc nous attend : La tyrolienne de l'Aiguille Rouge : 1800 m. vitesse 130 Km/h Rouge. Les plus téméraires se lancent... pour preuve le départ éclair de Rébecca Marder et Vincent Lacoste... Victor Belmondo suivra d'autres aussi courageux (on dit même qu'Isabelle Huppert s'est laissée tenter, mais ça reste confidentiel !) après ces émotions la fin de journée est beaucoup plus calme !
9/ Les Anniversaires : Depuis 15 ans j'assiste aux passionnants débats du jury Jeune... un très bon moment. Je découvre un nouveau lieu du festival le Chalet Altitude où se déroule une table ronde dans le cadre des 10 ans du Lab. Femmes de Cinéma. Sur le 10 précédentes lauréates du prix Femme de Cinéma (Sisley/les Arcs Film Festival) 6 réalisatrices ont pu nous rejoindre. Leurs échanges sont très éclairant sur la condition actuelle des... femmes de cinéma. Le déjeuner d'anniversaire au Savoy est tout aussi chaleureux que la rencontre précédente. Après une trop rapide réunion pour mettre en place la soirée de Clôture ( et oui c'est déjà pour le lendemain ! ) c'est le grand moment de la remise du 10éme prix femme de cinéma par Fabienne Sylvestre, Pierre-Emmanuel Fleurantin et Philippe d'Ornano (Président du directoire de Sisley) à Alice Rohrwacher réalisatrice, scénariste italienne. Et c'est l'heure d'affronter la tempête pour monter à 2000 pour le diner officiel des 15 an du festival... un grand moment et là les images parlent d'elles même !
10/ La clôture : Dernière réunion matinale. Petit déjeuner entre amis fidèles du festival. Tout est en place sur la scène pour la remise des prix. Là aussi j'espère qu'il y eu une captation de la cérémonie je n'ai pratiquement pas filmé la soirée sauf ces quelques rare images... et me voilà déjà au diner de clôture à la Folie douce... où l'on retrouvent des visages connus. Retour vers 1950. Karaoké aux Belles Pintes et final comme il se doit chez Ochaud où je retrouve Guillaume Calop, Martin Benoist, Alexandra Fleurantin, Fabienne Sylvestre... et bien d'autres membres de l'équipe de ce formidable évènement ! Dernier plan...
...très tard dans la nuit la nostalgie est déjà là.
à deux minutes de monter sur scène pour la clôture en compagnie de Allison Chassagne et Fabienne Sylvestre :
En trois vidéos voici le compte rendu du week-end passé à Fécamp au Festival de court métrage Eurydice.
Je n'avais jamais eu l'occasion d'y aller et pourtant cette manifestation si proche de Rouen existe depuis douze ans. Et j'avoue faire mea-culpa. Ce festival est une vraie réussite: une superbe programmation, une formidable équipe sympathique et efficace le tout dans le cadre très agréable du cinéma Grand Large au cœur de Fécamp !
Cerise sur gâteau je me retrouve avec un merveilleux Jury : Sheila O'Connor (comédienne, Réalisatrice), Venessa Guedj (Comédienne, chanteuse et réalisatrice) et Sylvain Robineau (Réalisateur) sans oublier le parrain du festival : Philippe du Janerand.
Et en parallèle à ce festival se déroulait une cession Kino/Fécamp suivie par de nombreux "kinoïtes" passionnés. Il faut bien l'avouer le Kino/Bar est très vite devenu le point de chute de toutes nos soirées Fécampoises.
On à tous hâte de retrouver Eurydice !
1/ Si ça ne marche pas vous cliquez sur la ligne regarder sur You Tube
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Si tout ça ne vous donne pas envie de découvrir ce festival l'an prochain !
Episode 90 : Les énervés dérivent vers le musée de la médecine à Rouen...
Du 19 novembre 2023 au 2 juin 2024 vous allez pouvoir retrouver nos Princes mérovingiens au Musée Gustave Flaubert, musée de la médecine à Rouen dans le cadre de l'exposition : Miroirs de la Seine chez Flaubert et au delà. La 11ème saison du temps de collections a en effet cette année la Seine comme fil rouge dans tous les musées de l'agglomération. Tout naturellement nos navigateurs vont y faire escale !
Voici en exclusivité un tout petit avant goût de cet événement :
une video de l'accrochage au 51 rue Lecat à Rouen en présence de Sophie Demoy-Derot responsable des collections du musée Flaubert.
Voici le texte écrit à l'occasion de cette exposition par Jean-Baptiste Chantoiseau, directeur des musées littéraires, conservateur du patrimoine :
QUAND LES ÉNERVÉS CRÈVENT L’ÉCRAN
Le tableau Les Énervés de Jumièges (après 1880) du peintre Évariste-Vital Luminais (1822-1896) a connu en 1986 une résurrection cinématographique inattendue… Après une dizaine de court-métrages et des recherches nourries sur cette œuvre iconique, le réalisateur Claude Duty (né en 1946) se lance dans l’écriture et la réalisation d’un film de 19 minutes environ, qu’il tourne en 35 mm et au format scope.
Il s’agit moins pour lui de mettre en images la légende des Énervés que de proposer une invitation au voyage dans une atmosphère fluviale noire et poétique. Aucun dialogue, sinon des cris retentissants, comme pour mieux atteindre le cœur d’un drame qui laisse sans voix. Reflets sombres de la Seine, branches d’arbres morts, sons fluviaux et musique synthétique offrent une symphonie symboliste et moderne au charme déroutant.
Les sauts temporels – lumières urbaines sur l’eau et final au musée des Beaux-Arts de Rouen là où le récit aurait dû se cantonner à l’époque médiévale – soulignent la capacité des mythes et des images à toucher par-delà les époques.
Bien avant Dead Man (1995) du cinéaste américain Jim Jarmusch (né en 1953), qui s’achève par une lente dérive sur l’eau à bord d’une embarcation de fortune, Claude Duty entraîne son public « loin d’ici » pour vivre une expérience esthétique et contemplative, à l’écart des rivages trop familiers. Le fleuve comme l’art s’affirment ici comme source essentielle de dépaysement, de questionnement mais aussi d’apaisement.
"Celle qui a bousculé le cinéma par sa silhouette et sa personnalité a eu une enfance terrible. Audrey Hepburn, star incontestée des années 50-60, a su forcer le destin. Abandonnée à l’âge de six ans avec sa mère par un père pro-nazi, la petite Audrey Kathleen Ruston a connu la faim pendant la Seconde Guerre mondiale. Cette malnutrition la poursuivra toute sa vie. Elle voit son rêve de danseuse étoile se désagréger à cause d’une santé fragile. Elle se réfugie dans le théâtre et le cinéma. Sa carrière explose assez tôt. Elle triomphe à Broadway en 1951 grâce à Colette qui lui confie le rôle de Gigi. Trois ans plus tard, elle est oscarisée, à seulement 24 ans, pour son interprétation dans le film Vacances romaines (1953) de William Wyler. Eileen Hofer et Christopher, qui ont sobrement intitulé leur album Audrey Hepburn (Michel Lafon), nous font découvrir avec beaucoup de générosité et d’empathie l’intimité de celle qui a arrêté volontairement sa carrière au sommet de sa gloire pour se consacrer exclusivement à son rôle d’ambassadrice de l’UNICEF. Audrey Hepburn, un album élégant."
(Audrey Hepbrun, Eileen Hofer et Christopher, Michel Lafon, 25,95 euros)
Première édition d'un micro-festival en pleine campagne dans le Cotentin :
LES PREMIERS JOURS D'ÉTÉ s'inscrit totalement dans la lignée des ces nombreux festivals "ruraux" créés et soutenus à bout bras par des équipes de passionnés qui loin des grands centres urbains permettent une vraie décentralisation du cinéma. Je souhaite à cette toute nouvelle manifestation la même réussite que les merveilleux festivals de Gindou dans le Lot, Contis dans les Landes, Lussas en Ardèche, Saint Paul trois Châteaux dans le Drôme... et de bien d'autres encore !
Un grand merci à Marie Andrée Malleville, Samuel Moutel, Jonathan Slimak et toute la formidable équipe pour ces trois jours formidables !
Petit compte rendu en image :
Samedi 1er juillet 2023 :
avec en concert :
Les Marins du Cotentincomposé de voix d'hommes, (le répertoire étant en général chanté autrefois par les hommes du bord). Son siège est à Bricquebec, en plein cœur du Cotentin. Les choristes viennent de toute la région de St Georges de la Rivière à Quettehou, en passant par Picauville, Cherbourg en Cotentin, Equeurdreville et bien sûr, Bricquebec. Dirigé et accompagné par Guy PIERCHON.
et
Museauplasticienne rouennaise en pleine exploration de l’univers musical. Sa proposition fraiche et expérimentale a séduit le label Mouton Noir Records qui a sorti son premier EP en 2016. Depuis, Museau expérimente, renifle et fouine afin de proposer un set mêlant de multiples horizons musicaux où s’entrechoquent des inspirations diverses et variées. Elle définit son style comme « eletronic-pop-nasal ».
Dimanche 2 juillet 2023 :
Bref un beau début dans un cadre très sympathique… Une programmation volontairement « Normande » qui en fait une manifestation fédératrice pour les professionnels du cinéma et de l’audio-visuel de la région qui pourrait devenir pour eux un rendez-vous festif annuel incontournable ! Preuve vivante et joyeuse du dynamisme de ce secteur professionnel en Normandie auprès du public, des politiques et des partenaires sociaux.