Voici en 10 courtes vidéos un aperçu de la 15ème édition des Arcs Film Festival qui vient d'avoir lieu du 13 au 22 décembre 2023. Un anniversaire très réussi avec des invités exceptionnels...
1/ L'arrivée : 3 jours avant l'ouverture, arrivée à Bourg Saint Maurice les Arcs... avec Frédéric Boyer (directeur artistique du festival) et Fabienne Sylvestre (Directrice des relations institutionnelles et co-fondatrice du Lab. Femmes de Cinéma) nous fonçons vers Arc 1950 QG du festival où nous retrouvons toute l'équipe déjà installée depuis quelques jours. Soirée très agréable qui se termine par un exposé/dégustation magistral de Pierre-Emmanuel Fleurantin expert en vins et spiritueux !
2/ J-2 de l'ouverture : Toute l'équipe est en plein travail tandis que je tourne sous la direction magistrale de Allison Chassagne le clip que nous présenterons lors de la cérémonie d'ouverture... Le soir tout le monde se retrouve au restaurant le Perce Neige pour diner après dette journée de dur travail. Un dernier verre en compagnie de Fabienne Sylvestre et Anne Pouliguen responsable du Sommet et il temps de se coucher.
3/ C'est pour demain : Le grand jour est pour demain. Nous descendons à Bourg-Saint-Maurice pour rencontrer les bénévoles toujours aussi sympathiques et motivés on en profite pour faire un tour sur le sites du Festival : Le cinéma Le Cœur d'Or de Bourg., la grande salle Taillefer à Arc 1800 où Allison teste la scène que nous arpenterons demain soir. Arrivé à 1950 je retrouve mes amis Maya et Jacques Kermabon. Jacques a longtemps été le programmateur des courts métrages du Festival. Et il est temps de rejoindre les premiers arrivants pour un diner de bienvenue. Le jury est déjà à l'Auberge des Lys : Vincent Lacoste, Irène Drésel, Christine Angot, Rébecca Marder et le président Asghar Farhadi...
4/ L'ouverture : Réveil en fanfare à 8h pour notre première réunion quotidienne de planning. Avec Allison descente en funiculaire pour faire la promotion du festival à Bourg-Saint-Maurice avec en vedette invite le maire Mr. Guillaume Desrues himself ! Juste le temps de remonter et l'on fonce au maquillage... Allison est superbe mais hélas pas d'images de la cérémonie car nous étions tous le deux sur scène... on attend la captation ! On se remets de notre trac en bonne compagnie pendant le diner d'ouverture chez Luigi ! Tous les invités se retrouvent au concert exceptionnel de Zaho de Sagazan un véritable choc et ce n'est pas peu dire !
5/ c'est parti ! : Le festival est sur les rails... 8h réunion du matin. L'industry village est ouvert et c'est déjà l'effervescence. Petit tournage avec Allison pour la promo de la boutique du festival. Le formidable rendez-vous des professionnels "huitres et champagne" à 2000. Je finis ma journée par la présentation de La fille de son père en présence du réalisateur Erwan Le Duc et ces deux comédiens Nahuel Pérez Biscayart et Céleste Brunnquell...
6/ Folle journée : le déjeuner du jury au Taj-I Mah un moment très agréable en compagnie de Rébecca Marder, Vincent Lacoste, Jean-Victor Blanc, Asghar Farhadi, Sébastien Lifshitz... et c'est déjà l'heure du concert de Voyou à 2800 mètres face aux Alpes ! Une petite pause à l'appartement avec Gaspard et Nuria encore sous le choc "Voyou", je repars à l'industry Village pour assister à une remise de prix et file à Bourg où après un repas savoyard bien mérité j'enchaîne avec un Q&E la comédienne, du film Allemand Universal Théory de Timm Gröger, Olivia Ross. Je finis à Ochaud pour le grand retour du DJ Fred Métral ! Une folle soirée pur une folle journée !
7/ Une journée type : Traditionnel petit déjeuner de rencontre avec les invités arrivants ici l'équipe de notre partenaire "Pyrenex" à la table voisine une réunion professionnel très sérieuse... Je suis rejoint par Pascale Faure (elle aussi très séreuse) et Sébastien Lifshitz. Sur la terrasse de Luigi, avec Allison Chassagne tournage de la vidéo pour le prologue de la soirée de clôture qui se pointe déjà à l'horizon. Petite visite entre amis à la salle des Arcs 2000 où les séances du Sommet ont lieu. Et j'enchaîne par deux débats au cinéma Cœur d'Or en présence de Noée Abita Comédienne et sa réalisatrice Victoria Musiedlak pour Première Affaire et de Salif Cissé comédien et son réalisateur Julien Carpentier pour La vie de ma mère deux avant premières de films très réussis et qui ont déclenchés des discutions passionnantes. Retour vers minuit à 1950 pour me retrouver chez Ochaud.
8/ Aujourd'hui c'est tyrolienne : Guillaume Calop le délégué général du festival nous entraine à 2800 mètres d'altitude suivit par Runen Östlund et sa petite famille, Grégory Montel, Victor Belmondo, Asghar Farhad, Nadia Tereszkiewicz et bien d'autres (à vous de les reconnaître). Arrivé là haut la vue est plutôt bouchée mais une attraction de choc nous attend : La tyrolienne de l'Aiguille Rouge : 1800 m. vitesse 130 Km/h Rouge. Les plus téméraires se lancent... pour preuve le départ éclair de Rébecca Marder et Vincent Lacoste... Victor Belmondo suivra d'autres aussi courageux (on dit même qu'Isabelle Huppert s'est laissée tenter, mais ça reste confidentiel !) après ces émotions la fin de journée est beaucoup plus calme !
9/ Les Anniversaires : Depuis 15 ans j'assiste aux passionnants débats du jury Jeune... un très bon moment. Je découvre un nouveau lieu du festival le Chalet Altitude où se déroule une table ronde dans le cadre des 10 ans du Lab. Femmes de Cinéma. Sur le 10 précédentes lauréates du prix Femme de Cinéma (Sisley/les Arcs Film Festival) 6 réalisatrices ont pu nous rejoindre. Leurs échanges sont très éclairant sur la condition actuelle des... femmes de cinéma. Le déjeuner d'anniversaire au Savoy est tout aussi chaleureux que la rencontre précédente. Après une trop rapide réunion pour mettre en place la soirée de Clôture ( et oui c'est déjà pour le lendemain ! ) c'est le grand moment de la remise du 10éme prix femme de cinéma par Fabienne Sylvestre, Pierre-Emmanuel Fleurantin et Philippe d'Ornano (Président du directoire de Sisley) à Alice Rohrwacher réalisatrice, scénariste italienne. Et c'est l'heure d'affronter la tempête pour monter à 2000 pour le diner officiel des 15 an du festival... un grand moment et là les images parlent d'elles même !
10/ La clôture : Dernière réunion matinale. Petit déjeuner entre amis fidèles du festival. Tout est en place sur la scène pour la remise des prix. Là aussi j'espère qu'il y eu une captation de la cérémonie je n'ai pratiquement pas filmé la soirée sauf ces quelques rare images... et me voilà déjà au diner de clôture à la Folie douce... où l'on retrouvent des visages connus. Retour vers 1950. Karaoké aux Belles Pintes et final comme il se doit chez Ochaud où je retrouve Guillaume Calop, Martin Benoist, Alexandra Fleurantin, Fabienne Sylvestre... et bien d'autres membres de l'équipe de ce formidable évènement ! Dernier plan...
...très tard dans la nuit la nostalgie est déjà là.
à deux minutes de monter sur scène pour la clôture en compagnie de Allison Chassagne et Fabienne Sylvestre :
Rédigé à 12:05 dans actu, Cinéma, Festivals | Lien permanent | Commentaires (0)
En trois vidéos voici le compte rendu du week-end passé à Fécamp au Festival de court métrage Eurydice.
Je n'avais jamais eu l'occasion d'y aller et pourtant cette manifestation si proche de Rouen existe depuis douze ans. Et j'avoue faire mea-culpa. Ce festival est une vraie réussite: une superbe programmation, une formidable équipe sympathique et efficace le tout dans le cadre très agréable du cinéma Grand Large au cœur de Fécamp !
Cerise sur gâteau je me retrouve avec un merveilleux Jury : Sheila O'Connor (comédienne, Réalisatrice), Venessa Guedj (Comédienne, chanteuse et réalisatrice) et Sylvain Robineau (Réalisateur) sans oublier le parrain du festival : Philippe du Janerand.
Et en parallèle à ce festival se déroulait une cession Kino/Fécamp suivie par de nombreux "kinoïtes" passionnés. Il faut bien l'avouer le Kino/Bar est très vite devenu le point de chute de toutes nos soirées Fécampoises.
On à tous hâte de retrouver Eurydice !
1/ Si ça ne marche pas vous cliquez sur la ligne regarder sur You Tube
2/
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Si tout ça ne vous donne pas envie de découvrir ce festival l'an prochain !
Rédigé à 19:04 dans actu, Cinéma, Courts métrages, Festivals | Lien permanent | Commentaires (0)
Episode 90 : Les énervés dérivent vers le musée de la médecine à Rouen...
Du 19 novembre 2023 au 2 juin 2024 vous allez pouvoir retrouver nos Princes mérovingiens au Musée Gustave Flaubert, musée de la médecine à Rouen dans le cadre de l'exposition : Miroirs de la Seine chez Flaubert et au delà. La 11ème saison du temps de collections a en effet cette année la Seine comme fil rouge dans tous les musées de l'agglomération. Tout naturellement nos navigateurs vont y faire escale !
Voici en exclusivité un tout petit avant goût de cet événement :
une video de l'accrochage au 51 rue Lecat à Rouen en présence de Sophie Demoy-Derot responsable des collections du musée Flaubert.
Voici le texte écrit à l'occasion de cette exposition par Jean-Baptiste Chantoiseau, directeur des musées littéraires, conservateur du patrimoine :
QUAND LES ÉNERVÉS CRÈVENT L’ÉCRAN
Le tableau Les Énervés de Jumièges (après 1880) du peintre Évariste-Vital Luminais (1822-1896) a connu en 1986 une résurrection cinématographique inattendue… Après une dizaine de court-métrages et des recherches nourries sur cette œuvre iconique, le réalisateur Claude Duty (né en 1946) se lance dans l’écriture et la réalisation d’un film de 19 minutes environ, qu’il tourne en 35 mm et au format scope.
Il s’agit moins pour lui de mettre en images la légende des Énervés que de proposer une invitation au voyage dans une atmosphère fluviale noire et poétique. Aucun dialogue, sinon des cris retentissants, comme pour mieux atteindre le cœur d’un drame qui laisse sans voix. Reflets sombres de la Seine, branches d’arbres morts, sons fluviaux et musique synthétique offrent une symphonie symboliste et moderne au charme déroutant.
Les sauts temporels – lumières urbaines sur l’eau et final au musée des Beaux-Arts de Rouen là où le récit aurait dû se cantonner à l’époque médiévale – soulignent la capacité des mythes et des images à toucher par-delà les époques.
Bien avant Dead Man (1995) du cinéaste américain Jim Jarmusch (né en 1953), qui s’achève par une lente dérive sur l’eau à bord d’une embarcation de fortune, Claude Duty entraîne son public « loin d’ici » pour vivre une expérience esthétique et contemplative, à l’écart des rivages trop familiers. Le fleuve comme l’art s’affirment ici comme source essentielle de dépaysement, de questionnement mais aussi d’apaisement.
Rédigé à 18:13 dans actu, Courts métrages, Les dérives des Énervés | Lien permanent | Commentaires (0)
Audrey à la sauce BD !
Vu sur https://www.francetvinfo.fr/culture/ :
"Celle qui a bousculé le cinéma par sa silhouette et sa personnalité a eu une enfance terrible. Audrey Hepburn, star incontestée des années 50-60, a su forcer le destin. Abandonnée à l’âge de six ans avec sa mère par un père pro-nazi, la petite Audrey Kathleen Ruston a connu la faim pendant la Seconde Guerre mondiale. Cette malnutrition la poursuivra toute sa vie. Elle voit son rêve de danseuse étoile se désagréger à cause d’une santé fragile. Elle se réfugie dans le théâtre et le cinéma. Sa carrière explose assez tôt. Elle triomphe à Broadway en 1951 grâce à Colette qui lui confie le rôle de Gigi. Trois ans plus tard, elle est oscarisée, à seulement 24 ans, pour son interprétation dans le film Vacances romaines (1953) de William Wyler. Eileen Hofer et Christopher, qui ont sobrement intitulé leur album Audrey Hepburn (Michel Lafon), nous font découvrir avec beaucoup de générosité et d’empathie l’intimité de celle qui a arrêté volontairement sa carrière au sommet de sa gloire pour se consacrer exclusivement à son rôle d’ambassadrice de l’UNICEF. Audrey Hepburn, un album élégant."
(Audrey Hepbrun, Eileen Hofer et Christopher, Michel Lafon, 25,95 euros)
Rédigé à 16:02 dans Audrey à toutes les sauces | Lien permanent | Commentaires (0)
Première édition d'un micro-festival en pleine campagne dans le Cotentin :
LES PREMIERS JOURS D'ÉTÉ s'inscrit totalement dans la lignée des ces nombreux festivals "ruraux" créés et soutenus à bout bras par des équipes de passionnés qui loin des grands centres urbains permettent une vraie décentralisation du cinéma. Je souhaite à cette toute nouvelle manifestation la même réussite que les merveilleux festivals de Gindou dans le Lot, Contis dans les Landes, Lussas en Ardèche, Saint Paul trois Châteaux dans le Drôme... et de bien d'autres encore !
Un grand merci à Marie Andrée Malleville, Samuel Moutel, Jonathan Slimak et toute la formidable équipe pour ces trois jours formidables !
Petit compte rendu en image :
Samedi 1er juillet 2023 :
avec en concert :
Les Marins du Cotentin composé de voix d'hommes, (le répertoire étant en général chanté autrefois par les hommes du bord). Son siège est à Bricquebec, en plein cœur du Cotentin. Les choristes viennent de toute la région de St Georges de la Rivière à Quettehou, en passant par Picauville, Cherbourg en Cotentin, Equeurdreville et bien sûr, Bricquebec. Dirigé et accompagné par Guy PIERCHON.
et
Museau plasticienne rouennaise en pleine exploration de l’univers musical. Sa proposition fraiche et expérimentale a séduit le label Mouton Noir Records qui a sorti son premier EP en 2016. Depuis, Museau expérimente, renifle et fouine afin de proposer un set mêlant de multiples horizons musicaux où s’entrechoquent des inspirations diverses et variées. Elle définit son style comme « eletronic-pop-nasal ».
Dimanche 2 juillet 2023 :
Bref un beau début dans un cadre très sympathique… Une programmation volontairement « Normande » qui en fait une manifestation fédératrice pour les professionnels du cinéma et de l’audio-visuel de la région qui pourrait devenir pour eux un rendez-vous festif annuel incontournable ! Preuve vivante et joyeuse du dynamisme de ce secteur professionnel en Normandie auprès du public, des politiques et des partenaires sociaux.
Rédigé à 10:27 dans actu, Cinéma, Courts métrages, Festivals | Lien permanent | Commentaires (0)
Vente récente d'un tableau de André Pécoud à l'Hôtel des ventes de Melun. Une belle et rare découverte :
Le diner de gala huile sur toile 27X34 cm signée André Pécoud
Mise à prix 300 euros, adjugé à 1300 Euros ! Les tableaux d'André Pécoud semblent rares et restent à découvrir...
Cela nous donne une petite idée de la cote de ce peintre méconnu !
Rédigé à 15:32 dans A. Pécoud | Lien permanent | Commentaires (0)
J'ai été très discret sur mon séjour au Festival de Cannes. Une très belle semaine, j'y ai vu pas mal de films, j'y ai retrouvé de nombreux amis. Bref une belle édition.
Mais je tenais à vous parler du grand évènement de ce Festival : La DJ Battle clou de la folle Nordic Party Cannoise annuelle. En effet à cette occasion de prestigieux festivals s'affrontent sur les platines à coup de playlistes ébouriffantes... et le grand vainqueur de cette année 2023 est :
Les Arcs Film Festival ! Toute la croisette a applaudi à cette fantastique victoire... le vrai grand choc cannois !
La vidéo réalisée ce soir vous fera mieux comprendre l'ambiance exceptionnelle de cette folle nuit :
Que dire de plus ?
Rédigé à 17:08 dans actu, Cinéma, Festivals | Lien permanent | Commentaires (0)
En 1952, la collection Petite planète parait aux éditions du Seuil. À l'époque celle-ci se démarque totalement du paysage des livres de voyage et de géographie, à la fois par son contenu et sa mise en forme. Quelques années plus tard découvrant ces livres ils m'intriguaient beaucoup par leur "modernité" et, déjà admirateur d'Audrey Hepburn, je ne comprenais pas pourquoi cette jeune star montante du cinéma hollywoodien se trouvait en couverture du livre consacré à La Hollande ?
D'autant qu'après de rapides recherches je découvrais que la jeune vedette oscarisée de Vacances Romaine (1953) était née à le , non pas en Hollande mais au 48 rue Keyenveld à Ixelles quartier Bruxellois ?
En observant de plus près la biographie de la petite Audrey on découvre qu'elle vit entre les Pays-Bas, la Belgique et Londres au gré des besoins du métier de son père. Elle finira par s'installer définitivement avec sa mère à Londres. En 1948, elle débute au cinéma avec un petit rôle d'hôtesse de l'air (3 minutes à l'écran) dans Le Néerlandais en sept leçons une production anglaise.
Bref une enfance et une adolescence tiraillées entre 3 pays avec en prime la guerre et un père à la personnalité cosmopolite on ne plus complexe suffisent à brouiller les pistes de la véritable nationalité de ce charmant visage qui se retrouve en couverture du volume Petite Planète consacré à la Hollande !
Pour info voici la couverture à la même époque du Petite Planète sur la Belgique
Seule exception dans les choix de photos de visages de jeunes femmes très contemporaines (voir plus haut) un tableau du XVème siècle ? Audrey Hepburn née à Bruxelles aurait sûrement mieux convenue...
Chris Marker qui tout en réalisant ses films, devient en parallèle le directeur de la collection Petite Planète (dont il est le responsable entre 1954 et 1958) a-t'il eu son mot à dire dans le choix de ces deux couvertures ?
Mystérieux petit clin d'œil au cinéma Hollywoodien et aux voyages spéciaux temporels de la part de l'auteur de La jetée (1962) ?
Le mystère reste entier !
Rédigé à 16:08 dans Audrey à toutes les sauces | Lien permanent | Commentaires (0)
Une fidèle de cette rubrique vient de m'envoyer cette photo intrigante, mais qui trouve totalement sa place ici : Ne vous inquiétez pas malgré les apparences nos dérives ne sont pas prêtes de s'arrêter là, bien au contraire cette image "choc" me donne plutôt l'envie de continuer à dériver !
Rédigé à 11:06 dans Les dérives des Énervés | Lien permanent | Commentaires (0)