Une première édition réussi pour le festival de films d'étudiants organisé pas les élèves de la 2ème année de l'option "gestion de production" du BTS du lycée Pierre Corneille de Rouen : LES COURTS DE CORNEILLE
Une manifestation à suivre...
Une première édition réussi pour le festival de films d'étudiants organisé pas les élèves de la 2ème année de l'option "gestion de production" du BTS du lycée Pierre Corneille de Rouen : LES COURTS DE CORNEILLE
Une manifestation à suivre...
Rédigé à 14:09 dans Cinéma, Festivals | Lien permanent | Commentaires (0)
La cérémonie d'ouverture suivie d'un cocktail puis d'un diner plus privé avec les membres des jurys qui font connaissance... et c'est parti pour une semaine :
En 40 ans le Festival du court métrage de Clermont Ferrand a vu défiler de nombreux réalisateurs ! C'est ce que prouvait l'exposition Les grands du court que l'on pouvait voir dans les couloirs bondés de la maison de la culture. En animant depuis 1983 les Expresso du matin j'ai eu la chance d'en rencontrer la plupart ! Et cette année ils ont été 125 à venir en salle Gripel pour répondre à nos questions et à celles d'un public de plus en plus nombreux :
Pour Annick Rivoire, Claire Diao et moi même les journées commençaient dès 9h30 sur les chapeaux de roues. Après ce marathon matinal voici un petit aperçu de ce qui nous attendait :
Dès le matin des files d'attente devant les salles. Un petit tour au vernissage de l'exposition des 40 affiches du festival de 1978 à 2018. Beaucoup de nostalgie mais surtout un vrai plaisir de retrouver des oeuvres signées par de grands illustrateurs :
L'avant première du film de Xavier Legrand "Jusqu'à la garde". Après le très réussi court métrage "Avant que de tout perdre" il s'agit là de son premier long métrage. Une occasion de retrouver Léa Drucker et de faire un petit selfie pour Marina !
Notre traditionnelle cantine La Javanaise est devenue cette année l'un des bars restaurants les plus fréquentés par les festivaliers. Un lieu de rendez-vous incontournable et cela jusque tard dans la nuit :
Cocktails, apéros et autres déjeuners et diners se multiplient pendant cette 40ème édition. Beaucoup d'occasion de se retrouver, de faire connaissance, d'évoquer ses projets et bien sûr de commenter les films vus dans la journée... Ici c'est la rencontre des réalisateurs français en sélection avec l'équipe de Sauve qui peut le court métrage organisateur du festival. J'enchaîne avec la traditionnelle fête Canal + :
La fête de Autour de minuit (société de production spécialisée dans le film d'animation) est l'une des soirées les plus courues du festival. Nicolas Schmerkin et toute son équipe de production, ses réalisateurs et ses amis dinent tranquillement avant d'affronter la horde des invités qui les attend au 101 :
Mon QG pendant le festival est le stand des normands au marché. Off courts, Normandie Image et le Moulin d'Andé sont sur le pont mais passé 18h tous vont se disperser dans la nuit clermontoise. Pour ma part je rejoins l'équipe et les réalisateurs de la collection "écrire pour le cinéma de genre fantastique" initiée par le magazine Sofilm et Canal +. dans un lieu privé au coeur du vieux Clermont. À deux pas l'association des festivals de la région Auvergne Rhone Alpes fête ses 10 ans !
Un petit groupe d'amis, tous vieux habitués du festival de Clermont, se réunit pour un diner de fromages chez Olivier Nivesse. Concocté par Michel Coulombe il y a déjà plusieurs années ce rendez-vous, la veille de la clôture, est devenu une réelle institution qui perdure malgré l'absence son bouillonnant créateur !
Off festival on peut faire beaucoup de choses à Clermont Ferrand : découvrir la superbe exposition du formidable illustrateur Li Kunwu au FRAC d'Auvergne. Rencontrer le photographe Didier Guyot et ses portraits façon retour vers le passé. Enfin se faire dédicacer le livre de Claire Diao "Double Vague" à la librairie Les volcans.
Mais c'est déjà le moment de la cérémonie de clôture avec les choix des trois jurys. Quant à moi mon coup de cœur toutes sélections confondues va au film suédois Skuggdjur (Ombre) de Jerry Carlsson :
Le 40ème festival du court métrage de Clermont-Ferrand s'achève en folie à La Javanaise et pour se remettre de ces émotions rien ne vaut un petit tour chez l'ami Roger Gonin pour un moment magique que je vous laisse découvrir :
Rédigé à 15:24 dans actu, Cinéma, Festivals | Lien permanent | Commentaires (0)
Avant de rejoindre le Festival International du court métrage de Clermont Ferrand il est temps de faire un petit retour en arrière sur ce début d'année :
Après mon traditionnel réveillon en compagnie d'amis (très) fidèles, j'ai entamé le long marathon des visionnages des films en sélection officiel du festival dont je dois assurer les débats. Visionnages heureusement ponctués de belles petites pépites... mais nous en reparlerons.
Je me suis toutefois accordé quelques escapades. En voici un petit aperçu en images :
Un "post-réveillon" très dansant chez Cécile Fort
Un anniversaire musical à la petite maison :
Un carnaval explosif entre Roumare et La Vaupalière :
Vous vous en doutez je me cache dans ces images... Un grand merci à Pierre-Alexandre le grand manitou des ce carnaval pour l'instant très privé mais à qui l'on promet un bel avenir...
et enfin le rendez-vous incontournable d' après Festival des Arcs : la soirée diapos. De chaleureuses retrouvailles ! On pense déjà à la 10ème édition !
Mais il est temps de regagner Clermont où m'attendent Annick Rivoire et Claire Diao pour les "EXPRESSO DU MATIN" au palais des congrès salles Gripel de 9h30 à 13h30 du dimanche 4 au samedi 10 février !
Rédigé à 12:08 dans actu | Lien permanent | Commentaires (0)
Recevoir cette invitation pour la nouvelle exposition du Musée du Quai Branly et découvrir des petits cousins amérindiens de nos Énervés !
Deux indiens en pirogue de François-Auguste Biard, de son vrai nom François Thérèse Biard, peintre français, né le 29 juin 1799 à Lyon et mort le 20 juin 1882 à Samois-sur-Seine ( Seine-et-Marne).
Deux indiens qui viennent rejoindre notre armada de dériveurs.
Rédigé à 17:31 dans Les dérives des Énervés | Lien permanent | Commentaires (0)
Et oui les fêtes sont déjà derrière nous et pour notre amie la borne de la place de la rougemare c'est une dure réalité !
Que lui réserve 2018 : Un nouveau chantier ? De nouveaux compagnons d'abandon ? Peut être une adoption par un service de la voirie municipale ?
Vous le saurez en suivant cette rubrique : BORNE(S) SANS LIMITE ! sur
Rédigé à 15:51 dans Borne(s) sans limite | Lien permanent | Commentaires (0)
Petit compte rendu en 10 vidéos du 9ème festival de cinéma européen des Arcs.
Une édition particulièrement réussie où la neige et le soleil étaient au rendez-vous.
En voici les coulisses filmées en "tourné/monté" avec mon Iphone. Une occasion d'établir 10 règles pour être un bon festivalier.
1/ J-3 de l'ouverture :
2/ J-2 de l'ouverture :
3/ J-1 de l'ouverture :
4/ L'ouverture :
5/ Le prix femme de cinéma
6/ Avec Noémie Lvovsky :
7/ De 3000 m. au bowling :
8/ Petites Histoires :
9/ J-1 de la cloture :
10/ La cloture !
Et voilà ce 9ème festival s'achève... vivement le prochain pour fêter dignement le 10ème anniversaire du FESTIVAL DE CINÉMA EUROPÉEN DES ARCS !
Le décor :
L'équipe au grand complet sur la scène le soir de la cloture :
Débat avec Vanessa Paradis et Samuel Benchétri :
Délicat planning :
Point de chute en soirée :
un beau débat avec Noémie Lvovsky :
Petit diner très privé off festival :
Avec Sandra qui m'a soutenu sur scène pendant la cérémonie de cloture !
Le président et sa garde (très) rapprochée :
Le grand trophée du festival : La flèche de Cristal signé "La monnaie de Paris"
Rendez-vous l'an prochain pour les 10 ans du festival !
Rédigé à 09:22 dans actu, Cinéma, Festivals | Lien permanent | Commentaires (0)
Jacky Evrard et le festival CÔTÉ COURT viennent de consacrer une carte blanche au réalisateur François Zabaleta le lundi 4 décembre 2017au Ciné 104. 104. Au cours cette projection (suivie d’un débat) ont été projetés deux films : LA NUIT APPARTIENT AUX ENFANTS et LE MUSEE DES AU REVOIR avec Béatrice Champanier (présente à la projection). Une belle occasion de replonger (ou de découvrir) l'oeuvre très personnelle de ce réalisateur talentueux.
En voici un bref aperçu filmé en "tourné/monté" avec mon Iphone :
voici l'intégralité du texte lu par François Zabaleta.
Un texte manifeste aux fortes résonances actuellement :
le cinéma aujourd’hui de gré ou de force tend à devenir un produit
une marchandise parmi d’autres
globalisée
mondialisée
paramétrée
code-barrée
nivelée
standardisée
labellisée
codifiée
conformisée
abâtardie
dévitalisée
une denrée fade
impersonnelle
corsetée
inoffensive
évidée de sa substance de sa charge de subversion
vandalisée par le terrorisme du court terme de l’immédiateté
le cinéma ou ce qu’il en reste est devenue la grande surface de l’émotion low cost
le cinéma est un art jeune et pourtant déjà il y a des normes
des balises
des repères
des choses qu’on fait et d’autres pas
des choses qu’il ne faut surtout pas faire
des choses qui ne se font pas
il y a des bourses
des écoles
des stages
des villas étrangères
des résidences
sorte de couvents étatisées
habilitées à faire de vous des artistes professionnels
rentrer en art comme on rentre dans une panoplie de matin de vingt-cinq décembre
désormais écrire un scénario
des dialogues
construire une histoire
développer une trame narrative
articuler des péripéties
nourrir la psychologie de ses personnages
édifier un édifice à produire du divertissement prédigéré
désormais oui ça s’apprend
ça s’enseigne
ça se transmet de maître à élève
toute singularité
inventivité
marginalité
désormais est disqualifiée
ostracisé au profit d’un toute puissante orthodoxie du savoir-faire
du savoir-créer
véritable machine à récupérer
abattoir à individualité
à broyer toute velléité de chemin de traverse
à tuer dans l’œuf toute pulsion d’école buissonnière
creuser son sillon hors du dogme désormais est devenu hors la loi
il n’y aurait donc qu’une seule et unique façon de faire du cinéma
on fait du cinéma comme les touristes font l’Inde, le Japon ou le Brésil
un parcours sans heurt
sans chaos
sans surprise bonne ou mauvaise
un parcours où seul change la toile de fond
où le dépaysement consiste juste en une variation géographique harmonieuse
à peine sensible
indolore
rassurante
sans perte de repère
un simple changement de décor
le cinéma n’est plus qu’un prétexte à occuper des écrans de multiplexes, à remplir des cases horaires de divertissement
les films comme autant de prétextes à la vente de produits dérivés
les films eux-mêmes désormais ne sont plus que des produits dérivés
le cinéma aussi c’est une machine à fabriquer de l’oubli, à commercialiser de l’amnésie
les films ne sont plus regardés
écoutés
dégustés
digérés
désirés
ils sont juste consommés
aussitôt vus
aussitôt oubliés
un film chasse l’autre
le cinéma ce serait donc ça
des films non pas tournés mais juste fabriqués
les décideurs réfutent l’improvisation comme un élément fondamental de toute création
autant dire que la liberté désormais n’a pas plus droit de cité dans l’univers mécanisé de ce qu’on appelait autrefois le cinéma
les films aujourd’hui témoigne d’un art mort
produire
faire des films
c’est porter le deuil d’un art moribond...
... à méditer !
Rédigé à 17:13 dans actu, Cinéma | Lien permanent | Commentaires (0)
Samedi 2 DECEMBRE, 20H30
Espace Bauchet - Forges les Eaux
"Balade pour 2 violoncelles et piano"
Avec Anël Rousseau et Patricia Trouvé Violoncelles, Philippe Davenet Piano
Il est assez rare de trouver de la musique écrite spécialement pour deux violoncelles. Aussi, au fil du temps, le répertoire classique s'est-il enrichi de nombreux arrangements, auxquels s'est ajouté le piano pour ce concert donné par les deux violoncellistes Patricia Trouvé et Anaël Rousseau et le pianiste Philippe Davenet, artistes de talents qui, tous les trois, mènent une carrière nationale et internationale, au-delà de la place privilégiée qu'ils occupent dans le paysage musical normand. Il nous offrent un concert parcourant les époques et les genres, de Haendel à Piazzola, en passant par Rachmaninov ou Saint Saëns et bien d'autres encore. Un beau moment où violoncelles et piano se mêlent harmonieusement, avec lyrisme, une mélancolie paisible mais aussi une mélodieuse énergie.
J'y étais et en voici une petite video tournée toujours en "tourné/monté" :
Rédigé à 09:39 dans actu | Lien permanent | Commentaires (0)
Le 1er du mois de décembre le festival est dans 16 jours et c'est la dernière grande réunion de toute l'équipe avant le départ vers Bourg Saint Maurice !
L'équipe du Festival de cinéma Européen des Arcs est au taquet :
et le catalogue et prêt :
alors rendez-vous aux Arcs le 16 décembre pour l'ouverture !
Rédigé à 11:12 dans Cinéma, Festivals | Lien permanent | Commentaires (0)
Le 23 novembre 2017 Noé Cinémas fête ses 30 ans avec cerise sur le gâteau la remise de la légion d'honneur par Claude Lelouch à son directeur Richard Patry. Une soirée mémorable pour tous ses collaborateurs et amis !
Petit compte rendu en deux temps :
1 / La cérémonie de remise de médaille avec sur scène du Grand Mercure, Richard Patry, Axel Brucker, Olivier Snanoudj, Claude Lelouch et sur l'écran un film en scope réalisé par Fernand Berenguer, Stéphane Landfried, Gérard Lemoine et Alain Surmulet.
2 / La fête jusqu'à l'aube au Cirque Théâtre d'Elbeuf... j'avoue honteusement m'être éclipsé peu après minuit. Un 23 novembre qui restera gravé dans nos mémoires !
Merci et encore bravo Richard !
Et pour ceux qui ne connaîtraient pas la réponse à la question qui fache : "Mais Richard comment as-tu débuté dans le cinéma ? Téléphonez moi...
Rédigé à 09:22 dans actu, Cinéma | Lien permanent | Commentaires (0)